Archives mensuelles : mars 2009

heure d’été

Salut les changés d’heure !

Pas trop traumatisés ? Un peu quand même… Une arnaque de plus ou de moins, vous me direz… L’essentiel est que, heure d’été ou heure d’hiver, le virus de la bêtise puisse continuer à traverser le bonnet d’âne-à-une-oreille de la vieille beune vicelarde. Le principal c’est que François Fion puisse continuer à décréter des trucs et des machins de la plus haute insignifiance en attendant que le nain, son maître, sorte des cabinets où les derniers sondages l’ont obligé à se réfugier. Ce qui compte avant tout, quelle que soit l’heure, c’est que nos amis espagnols puissent continuer à caracoler en tête du hit parade des femmes battues à mort par leurs époux légitimes (une par jour) tout en défendant âprement le droit de leurs foetus de moins de trois semaines à ne pas être sauvagement rayés des listes des futurs chômeurs très catholiques de l’ex-royaume de la Sainte Inquisition, quoi merde !
Mais surtout, et les caprices du réveil n’y changeront rien, la vraie question est de savoir si, mercredi soir, Démonek et son boys band sauront puiser en eux-mêmes les ressources de courageuse détermination et d’abnégation indomptable indispensablement nécessaires pour que les accents héroiques de la Marseillaise conservent toutes leurs chances d’être entendus, aussi faux soient-ils éructés, lors de la prochaine Coupe du Monde !

Il n’y a pas d’heure pour les braves cons.

fin de lune

Je sais pas si c’est la fin de lune qui veut ça mais ces jours-ci je me sens las.

C’est pas comme le nain qui se vante d’avoir “la banane”. Ca c’est une bonne nouvelle! ! L’atout majeur d’ el Presidente c’est qu’il ne se lasse pas des âneries qu’il raconte à longueur de journée. Je crois qu’on appelle ça le “comique de répétition”. D’accord, Louis de Funès, son jumeau astral, en avait fait son fond de commerce et ça ne lui avait pas trop mal réussi. Pareil pour les tics et la démarche qui, honnêtement, réclament une certaine maîtrise de son corps et surtout beaucoup de travail en amont.
Toutefois la vraie question est de savoir si, comparé aux cachets faramineux de l’inoubliable interprète du “Corniaud”, le bien maigre salaire de notre vénéré leader justifie pareils efforts pour arracher un de plus en plus vague rictus de sourire à un peuple de bons-à-rien notoires ( encore plus d’un million de nouveaux tire-au-flancs annoncés d’ici la fin de l’année ) dénués du moindre sens de l’humour, uniquement préoccupés de savoir s’ils vont continuer à pouvoir nourrir leurs enfants, soigner leurs petits bobos, payer leur loyer, enfin des conneries de ce genre qui n’intéressent qu’eux-mêmes !

Cela dit, tout n’est peut-être pas perdu pour le n°1 du cinéma français puisque le scénario de son ( déjà trop ) long-métrage “Travailler plus pour gagner plus” est en passe d’être adapté aux USA où c’est parti pour rémunérer les profs au rendement et les banquiers à la promesse d’arrêter de faire des bêtises avec les sous des contribuables. Bonbons? Esquimaux? Chocolats glacés?

Putain de lune!

quatre merdes en passant

Il s’agit d’un quatuor à cordes pour se pendre.

Quatre non-personnes dont l’aigreur pathétique de ne pas être ni avoir été n’a d’égale que l’acharnement à éradiquer publiquement et sans anesthésie les reliquats d’amour-propre de proies consentantes en mal de devenir. Devenir quoi au juste, on sait pas trop. Une nouvelle étoile, semble-t-il, à moins que mon anglais me trahisse. Un “nouvel astre doué d’un éclat propre dû aux réactions thermonucléaires dont il est le siège”.
Tout cela par la gràce infinie d’une ménagère de plus de cinquante ans aux lèvres gourmandes et au soutif mutin, ayant toute sa pauvre vie écumé avec plus ou moins de bonheur les couloirs moquettés d’innombrables maisons closes dont la raison sociale affichée se voulait être la gravure et la vente de rondelles magiques qui font du bruit dans les noreilles.
Rivalisant avec mémère de méchancetés gratuites et surtout tellement banales envers leurs malheureuses victimes, un blondinet insignifiant vaguement apte à remplir les “planchers à danser” ( si mon anglais est touijours correct ) de fervents adeptes de ses rythmes de comique troupier ( “J’ai la rate qui s’dilate, l’estomac qu’est pas droit…”, remember?) côtoie un ex- “rock-critic” ( me faisez pas rire, j’ai des gerçures! ) occultant ( oh combien! ) derrière d’indispensables pare-soleils son regard avide de lèche-bottes professionnel.

Et c’est hargneux tout ce petit monde ! Que c’est hargneux! Agressif ! Autosatisfait ! Minuscule ! Ringard ! Sans la moindre valeur ! Et je n’ai pas encore mentionné le doyen de cet aréopage de tortionnaires minables. Allez Dédé, sors des chiottes, sombre crétin, fantoche, blaireau à triste figure! Sors des chiottes où tu passes ta vie à te gaver en douce de kébabs avariés et autres sushis de contrebande! Sors de nulle part, ta véritable demeure, pour nous ravir de tes traits d’humour à la finesse sans pareille ( “…Votre interprétation sent trop le savon et pas assez la foufoune!” )….

Et vous, apprentis oiseaux, si m’en croyez, sautez vite de cette cage puante ! Allez donc picorer ailleurs les graines douces amères de la célébrité !
Ou mieux : changez de nourriture!

gravelosités

Salut les sidéens!

Décidément, la vieille Beune pourrie tient absolument à se faire insulter! Dommage, aujourd’hui j’avais prévu de parler un peu de mes amis: DJMat, qui vien de péter un mini clip tendance néo-modernistique narrant les exploits de son King of Pop préféré, Franck Zerbib, qui tente une courageuse percée dans l’épicerie bien mal achalandée de la chanson intéressante, Akim, le Rebeu-des-Bois qui sait si bien causer des ivrognes et, pêle-mêle, Laszlo Jones, The Divine Comedy, The Duckworth Lewis Method, Baron Von Lichtenstein and The Penguins of Death, Underground Railroad et, of course, Nicolas Blanc, ” le peintre psychotique à la retraite”, sans mentionner – ce sera pour une prochaine fois – toutes les autres talentueuses personnes qui me font l’honneur de figurer sur mon carnet d’adresses.

Donc, semant la zone dans mon planning, il a fallu que l’immonde momie vaticane lâche une nouvelle connerie putride qu’il n’est – même si on a tous autre chose à faire que torcher les débordements odorifères d’une poubelle vaguement humaine – pas question de laisser passer.
Dans l’avion qui le trimballait vers de nouvelles avanies, africaines en l’occurrence et qui, si Allovah avait été dans le coin, aurait dû s’écraser à l’instant même, pour faire son malin devant une fine équipe de tarlouzes néfastes entortillées dans leurs rouleaux de PQ liturgique, la Sainte Paire de Mes Deux a tâché moyen de nous éructer une sainte parole tellement naze et crétine que ça prouve bien que le Nain Jaune Menteur a encore beaucoup à apprendre en ce domaine ( on lui fait confiance).
Il paraitrait, selon le phare de la Chrétienté triomphante, que le préservatif, non seulement n’aide pas à lutter contre la transmission du sida, mais NUIT à la lutte contre ce fléau. Excusez-moi une petite seconde, je vais vomir mon petit déj’ et je reviens…

Qu’est-ce qu’on disait? Ah oui! Benoît 16 ( quel pseudo à la con! ) est une sous-merde inconsciente, une honte insondable pour l’humanité en souffrance, un pédophile refoulé d’extrême justesse et encore, un puceau du neurone, une vermine, un malfaisant, un fils de pute, aidez-moi les mecs, je suis à court de gravelosités et en plus il va falloir que j’aille bosser incessamment sous peu alors j’arrête mais ce n’est point sans regret. Pour la peine, je vous laisse méditer sur deux informations intéressantes de Kuken, le nouveau spécialiste des questions liturgiques sur fyr. A toi Kuken!
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Le Vatican vient de se faire épingler par l’Europe, en effet le Vatican bat monnaie, en l’occurrence l’Euro, mais avec un petit aménagement personnel, l’ Euro de St Pierre est à 1,88€, car il est enveloppé et à tirage limité, et revendu à des officines maffieuses proches du vieux rat en grandes quantités, qui les refilent aux couillons de culs bénis aux environs de 1 500 €, avec la tronche de JPII et BXVII. On a trouvé ça un peu gros à Bruxelles ( Source Le Monde).
Une tite dernière
L’ancien secrétaire particulier des papes Jean Paul II, Jean Paul 1er et Paul VI, l’évêque irlandais John Magee, a annoncé sa démission, samedi 7 mars, à la suite d’une enquête judiciaire menée pour abus sexuels dans l’Eglise catholique. Agé de 73 ans, l’évêque de Cloyne se voit reprocher son attitude face à des informations signalant des actes de pédophilie dans son diocèse. En 2008, une enquête interne à l’Eglise avait déjà révélé qu’il n’avait pas répondu de manière adéquate à des allégations d’abus sexuels. Généralement, les prêtres incriminés sont simplement mutés dans de nouvelles paroisses. Depuis les années 1970, plus de 400 affaires d’abus sexuels ont été révélées dans l’Eglise catholique irlandaise. (AFP.)
le Monde daté du 10 mars

mars attaque

Salut les apostats!

Ce matin 16 Mars à 6 heures, il me revient en mémoire un épisode de la Genèse, saison 8, peu souvent mentionné par les travelos du Vatican.
Oui, en ce temps là la semaine comptait 8 jours. 7 pour bosser et le huitième pour pisser.
Or donc, en ce huitième jour Allovah, “Dieu” pour les potes, éprouva le besoin impérieux de soulager sa divine vessie. Il se rendit pour ce faire aux 4 coins de son divin Royaume puisque, en ce temps-là, chacun sait que la Terre était carrée. Par 4 fois, une bordée pour chaque coin en sifflotant “Lili Marlène”, son air préféré, Dieu se mit en devoir d’évacuer les moult cannettes de Kro ingurgitées les jours précédents pour se donner du coeur à l’ouvrage.
Alors qu’il secouait pour la quatrième fois sa divine Quéquette l’idée lui vint de faire de chaque flaque la marque indélibile qui, dorénavant délimiterait le merveilleux jardin fraîchement arraché au chaos des origines.
Dieu venait d’inventer le “droit de propriété”.
Depuis ce jour béni entre tous, chaque année, quand revient le 16 mars à 6 heures du mat’, alors que les petits oiseaux s’affairent à la confection du nid douillet qui réchauffera le cul de leur fragile progéniture, de courageux huissiers s’en viennent répandre la Sainte Parole sur les infâmes mécréants tapis sournoisement derrière une porte qui ne leur appartient même pas.

En vérité je vous le dis: aujourd’hui encore, gràce à l’abnégation d’une poignée de valeureux redresseurs de torts, 500 000 usurpateurs du bien d’autres truies se verront enfin jetés à la rue après avoir pendant un trop long hiver profité indûment du laxisme d’une justice aveugle incapable de garantir, quelque soit le lieu ou l’heure, les droits inaliénables et sacrés de braves propriétaires que Dieu créa pourtant à son image.