heure d’été

Salut les changés d’heure !

Pas trop traumatisés ? Un peu quand même… Une arnaque de plus ou de moins, vous me direz… L’essentiel est que, heure d’été ou heure d’hiver, le virus de la bêtise puisse continuer à traverser le bonnet d’âne-à-une-oreille de la vieille beune vicelarde. Le principal c’est que François Fion puisse continuer à décréter des trucs et des machins de la plus haute insignifiance en attendant que le nain, son maître, sorte des cabinets où les derniers sondages l’ont obligé à se réfugier. Ce qui compte avant tout, quelle que soit l’heure, c’est que nos amis espagnols puissent continuer à caracoler en tête du hit parade des femmes battues à mort par leurs époux légitimes (une par jour) tout en défendant âprement le droit de leurs foetus de moins de trois semaines à ne pas être sauvagement rayés des listes des futurs chômeurs très catholiques de l’ex-royaume de la Sainte Inquisition, quoi merde !
Mais surtout, et les caprices du réveil n’y changeront rien, la vraie question est de savoir si, mercredi soir, Démonek et son boys band sauront puiser en eux-mêmes les ressources de courageuse détermination et d’abnégation indomptable indispensablement nécessaires pour que les accents héroiques de la Marseillaise conservent toutes leurs chances d’être entendus, aussi faux soient-ils éructés, lors de la prochaine Coupe du Monde !

Il n’y a pas d’heure pour les braves cons.