Archives mensuelles : septembre 2017

l’émission politique

Les petits veinards qui, hier soir, avaient autre chose à faire que mater Léa Salami jouer à la maîtresse d’école avec le dépendeur d’andouilles aux poils de museau pleins de caca qui nous sert de premier sinistre et  Nain Soumis, son triste faire-valoir, n’ont rien perdu. Mais alors rien du tout. En fait, j’en sais rien passque je me suis endormi à peine j’avais posé mon cul sur le canapé. Je me suis réveillé pour faire sortir le chat qui menaçait de chier à côté de sa caisse si ce fumelard de Déconne-Benne-Dites et ce gros pédophile libidineux de Mitterrand-et-Ran n’ étaient pas illico soustraits à son regard félin.

Bref, la politique juchrémane continue de battre son plein et nous nos couilles.

connasse

 

Entendu ce matin à la radio une salope qui se réjouissait de l’imminence de la réouverture de la tuerie organisée de tout ce qui bouge dans nos fourrés pleins de pq et de cannettes vides. Pas de problème, connasse, que ton panpan te pète à la gueule et que ton clébard hystérique vienne chier sur ta dépouille de bourgeoise désœuvrée

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Divins Fondements

Ça va aller, les Bouddhistes ?

Pas trop gênés de retourner vos superstitions prétendument non-violentes contre celles des 3èmes petits cochons de la trilogie juchrémane (qui, eux-mêmes etc…etc… lire Les Aventures de Moïse et faire réchauffer, par ex,  catastrophe humanitaire  ) ?

‘tain ! Mais quand est-ce que vous tous, « croyants » de mes deux, allez vous décider à vous rouler vos Mickeys Galactiques, vos Certitudes Célestes, vos Béatitudes Indicibles, vos Créations Ineffables etc… bien serré et vous les carrer dans vos Divins Fondements ?

et commencer à essayer  de vivre comme des humains ?

 

Juchrémanie mon amour

Ce matin, j’attaquais mon petit-déj’ d’un cœur vaillant quand une dame dans la radio m’a balancé coup sur coup deux news qui m’ont tout de suite replongé dans l’ambiance juchrémane (lire et relire les Aventures de Moïse)des fois que, pendant la nuit, j’eusse oublié qui j’étais , d’où je venais et dans quel mur j’allais.

1/ là-bas, sur l’île de St Glin-Glin, après le passage d’ Irma la Douce, des petits farceurs survivent en se rançonnant les uns les autres.

2/ ici, à Paris, une député “en marche” (rires) fait tourner sa boîte d’ “événementiel” en proposant à ses pigeons la visite accompagnée de son lieu de travail. 100 € le tickson. Pique-nique ta mère à l’Assemblée pour tout le monde et champagne pour l’heureuse élue.

Où que nous tournions le regard, non seulement notre chic planète se barre en sucette mais ses habitants ne pensent plus qu’à une chose: faire de la thune, du blé, du flouze, de la maille, des pépètes, de la “plus-value”, de la “valeur ajoutée”,  en gros : de la “création de richesses” plein ses fouilles de sa mère la pute ( on dit plus “bénéfice”, c’est trop mal poli ).

Quand on pense que c’est au Grand Yavallah qu’on doit tout ça, on est ému !

“…A tel point que, décalqué à travers le « papier » des « Religions du Livre », le « tattoo » du dieu unique que l’on voit orner, en ce troisième millénaire commençant, les fronts et les reins de la multitude n’est pas celui de Yahvé ni celui de l’Eternel des Armées ni celui d’Allah mais de celui dont ils ne sont que les faire-valoir, celui de St Dollar en personne.” (  Moïse passe la main  )

Lisez les Aventures de Moïse, vous dis-je.

 

 

bêêêêêê (merci en langue mouton)

D’habitude je m’en bats les couilles mais là je suis content que « Al-adha sur mon bidet » ait trouvé quelques lecteurs. Ça compense comme ça peut les assauts d’ « humour » auxquels se sont livrés, ces jours derniers, les massacreurs de moutons fiers de l’être et leurs vidéos dégueulasses. Par ex un keum tout content de trimbaler un ovin, auquel il a mis une paire de shades, assis à l’arrière de sa Béhème de merde en route pour l’égorgement rituel. La même chose mais à trois sur une mob + un mouton vivant. À peine moins pathétique, ce petit con fier de partager une photo de la côtelette d’agneau qu’il s’apprête à faire frire, etc, etc… Lamentables échantillons de ce que peut produire la cruauté préhistorique ordinaire envers les animaux, alliée à la connerie insondable engendrée par une superstition grotesque. Comme l’a écrit un titulaire : « pour patienter en attendant la chasse ». Mais ceci est une autre histoire à faire dresser les poils sur les joues.

En tous cas bêêêêêê tout plein les poteaux.