Blaque Frailledet

« Ce n’est pas parce que vous êtes un philanthrope et un militant que vous devez être stupide en affaires ! »
Bonno, l’enculé de sa mère.

 

Si ce site confidentiel, riche en écrits divers et en salades plus ou moins chantées, parfois assaisonnées d’images est , comme qui dirait, entré en jachère, c’est que, je le répète, mes petits doigts besogneux ont fort affaire avec ma dernière addiction en date : écrire des polars.

Il n’empêche que je continue à m’offusquer de milliers de choses. La moindre n’est certes pas le goût immodéré pour la thune des bipèdes à poil ras et à museau pileux. Pathologie catastrophique, aboutissement pathétique d’une superstition lamentable, il frappe chaque jour un peu plus fort, conduisant l’espèce à son extinction prochaine.

Voici, par exemple, que la soumission débridée au dieu Pognon, avatar ultime de la divinité juchrémane qui nous pompe l’air depuis trois mille ans et plus, débouche sur une ânerie supplémentaire. Alors à quatre pattes, tout le monde, ou à genoux ou à plat ventre (l’essentiel est que votre carte de crédit soit accessible) et psalmodions, voulez-vous?

Ô Blaque Frailledet, descends sur nous ! Des réducs pour les trouducs ! C’est si long un mois, avant Noël et ses arnaques sous le norman décapité ! Ô Blaque Frailledet, que les publicités putassières chantent à jamais tes louanges ! Que le son béni des caisses enregistreuses résonne jusqu’aux oreilles du Grand Yavallah, en sacrifice à sa Glouare à jamais bénéficiaire.

Sans déc’, faut quand même mourir d’ennui et/ou être tombé bien bas dans l’involution de l’espèce pour faire de son passage sur cette putain de planète toujours plus mercantile, une merdique partie de Monopoly sanglant.

A+