sex and politics

 

Mon désintérêt pour tout ce qui ne touche pas à la protection des animaux va grandissant, m’entraînant à négliger mes obligations de gros niqueur sur ce site formidable. Je vous demande de ne pas m’en tenir rigueur et continuer à mettre à jour votre lecture des articles parus sur FYR ces dix dernières années, comme le temps passe. Mais, de toutes façons, personne ne suit mes conseils. Ainsi ne vous avais-je point exhortés à  fumer au plus vite votre carte d’électeur , excellent carton de joint au demeurant ?

Et voilà, vous êtes quand même allés voter, en mémoire de vos ancêtres qui avaient donné leur vie pour etc…

Et voilà, vous navet que ce que vous méritez : un branleur de pédant de la raie publique qui fait honte à ses parents, à son pauvre clebs qu’ il eût mieux fait de laisser adopter par un maître dont le quadrupède n’eût pas eu à rougir, et à sa femme qui, d’accord, n’a pas inventé l’eau tiède. Assez cependant pour s’apercevoir que son mari lui préfère les  grands cow-boys à moumoute qui le prennent par la main (pour commencer) entre deux portes d’une maison aussi blanche que le trou du cul d’un âne.

Manuléon, je te le dis « en te regardant dans les yeux », selon ton expression favorite : ta pauvre vie sexuelle n’intéresse personne mais un minimum de gingin n’a jamais nui à quiconque non plus. On ne mélange pas impunément sexe et  politique. Tôt ou tard, les quelques instants de bonheur indicible vécus dans les bras de l’envoûtant Donald, très cher tu paieras.

Quai des Agrumes

Quant à vous, innocents blaireaux, la prochaine fois m’écouterez. Ou pas.