Archives mensuelles : mai 2013

Le mariage pour personne svp! (suite et fin)

En 1999, fut votée la première mouture d’une loi – peaufinée en 2006 puis en 2007 – qui, non seulement mettait fin aux incertitudes jurisprudentielles (mon mari !) quant à la validité juridique du concubinage entre personnes de même sexe, mais plaçait les couples homosexuels sur un pied d’égalité quasi parfait pour tout ce qui touchait de près ou de loin aux petits arrangements financiers entre gens qui s’aiment pour la vie, avec les couples mariés.

On n’avait jamais rien vu d’aussi attendrissant depuis nos ancêtres les Romains.

Mais vous savez, les pédés et les goudous sont ben comme tout le monde : vous leur en donnez comme ceci (geste de la main gauche qui montre le poignet de la main droite) et aussitôt  i – z – en réclament comme ceça (la main gauche remonte jusqu’au coude) ! Voilà-t-il pas que le pacs ce n’était pas encore assez pareil que le mariage! En particulier dans le domaine de la « protection au dernier vivant ». Pensez-donc : la « quotité », « spéciale » entre mariés n’était qu’ « ordinaire » entre pacsés ! Un peu moins déconnant passque là, y avait risque d’envoyer certaines vieilles choses direct aux Restos du Cœur : le marié rescapé pouvait prétendre à la « pension de réversion » mais pas le pacsé…

Perso je n’entrave pas grand-chose à ces finesses d’initié mais je suppose que les ceusses dont la seule sexualité interdit l’accès à des magouilles paperasseuses valables pour tout le monde ont de tous temps été en droit d’avoir les boules.

 

Pour couronner le tout, même si, évidemment, c’était moins grave que ces atteintes odieuses à l’intégrité de leur compte en banque inaliénable et sacré, les couples pacsés, contrairement aux couples mariés,  n’étaient pas autorisés à entreprendre ensemble une démarche d’adoption ni, à fortiori, à partager joyeusement l’autorité parentale sur des nains dont ils avaient la charge mais qu’ils n’avaient pas pondus ou adoptés, en tank eux-mêmes et personnellement.

Bien pire, car finalement c’était quand même là une nouvelle attaque frontale au porte-monnaie, et tout juchréman, pédé ou pas, ne peut que s’en offusquer, ce partage interdit interdisait conséquemment aux susdits nains d’hériter indifféremment de l’un ou l’autre de leurs pacsés de parents.

J’espère que vous me suivez….

Sinon c’est pas grave parce que, depuis la semaine dernière, malgré les efforts moins désespérés que désespérants de Ste Frigide-de-l’Hystérie Collective et de sa brochette d’attardés afin que, ad vitam eternam sur notre glorieuse terre de France, un chiard puisse voir à la verticale son berceau s’afficher les sourires béats de parents sexuellement différenciés, depuis la semaine dernière donc, puisque « les mots ont un sens », la Loi de la République autorise un homme à prendre pour mâle un autre homme et, encore plus étymologiquement insolite, une femme une autre femme !

 

Sur l’instant on rigole, au moins nerveusement, mais l’instant d’après on commence à se poser des questions.

Genre : sachant que d’année en année, malgré les imperfections décrites précédemment, de plus en plus de bipèdes en voie d’humanisation qui ambitionnaient d’unir leurs destinées incertaines, optaient pour un pacs(1), pourquoi mon Dieu avoir voulu à tout prix relancer une institution poussiéreuse sur le point d’être gentiment reléguée au rayon des coutumes vieillottes tout juste propres à satisfaire le pseudo-romantisme d’une poignée d’irréductibles désireux de réveiller M. le Maire à l’heure de la sieste pour lui faire débiter un chapelet de platitudes affligeantes souvent contredites par la suite des évènements ?

Il leur aurait suffi  de saupoudrer leur pacs (comme ils l’avaient déjà fait en 2006 et 2007) de quelques amendements réglant les problèmes de pension de réversion et d’adoption qui continuaient à provoquer des disparités regrettables entre mariés et pacsés, pour que nos savants législateurs – une fois n’est pas coutume – se montrent à la hauteur des espérances d’une Cité en route vers plus de justice et de tolérance, au lieu de secouer ainsi la malheureuse carcasse d’une pratique machiste à but essentiellement lucratif et, ce faisant, donner à des momies réactionnaires une occasion rêvée d’exhiber leurs sarkophages bleus et roses!

Formulée plus abruptement, la question est : à qui profite le crime ?

De toute évidence, étant donné que l’histoire du phénomène idéologique juchréman peut se résumer à la patiente et répétitive organisation d’une interminable course de rats à travers les millénaires, l’objectif de chaque participant étant d’accumuler le maximum de croûtes de camembert avant de les refiler à sa portée de rongeurs, et rien qu’à eux, sans doute pour se faire pardonner la transmission simultanée d’un génome en déperdition constante de ses critères spécifiquement humains, l’appât du gain est un mobile à privilégier, surtout en cette période de profonde incertitude financière.

A défaut de pouvoir énumérer les innombrables catégories socioprofessionnelles qui ont tout intérêt à ce que le mariage reste le mariage – savoir, avant tout : un déballage de signes extérieurs d’opulence auquel même les pauvres gens s’efforcent de sacrifier tant bien que mal, quitte à…emprunter – qu’il nous suffise de remarquer qu’à peine la loi promulguée, le premier « salon du mariage gay » ouvrait ses portes !

Serait-ce à dire qu’au Parlement siègent plus de représentants de commerce que de représentants du peuple ?

 

Mais avant de crier « haro » sur Les Trois Baudets, voyons voir si un train d’escrocs n’en cacherait pas un autre…

…Psst! Si je vous disais que les Juifs comme les Musulmans marchent à fond avec ce vieux crapaud de bénitier de Napoléon ?

Eh ben je vous le dis : comme il l’est pour les Chrétiens, le « mariage civil », ou « mariage à la mairie » est un préalable indispensable aux mariages religieux juif et musulman. (2)

 

Alors imaginons qu’on ait laissé le mariage civil mourir de sa belle mort…C’est qui qu’ils auraient été rudement embêtés? Mais les 3 Petits Cochons bien sûr ! L’effet Procter & Gamble (3) leur a sans doute offert l’opportunité de rempiler pour quelques siècles encore mais le Conseil Français du Culte Musulman n’est pas riche et peut encore moins compter sur les subventions publiques que l’Episcopat ou le CRIF (4) alors allez donc construire des lieux  consacrés décents pour les uns, ou pour les autres, réparer les toitures, si on vous sucre les rentrées de fonds non négligeables que représentent les cucarachas nuptiales. C’est pas tous les jours que la manne céleste vous tombe toute cuite dans le gosier, encore moins les kebabs ou les falafels !

Bref si l’argent est le nerf de la guerre, c’est aussi celui de la prière. Ajoutez à cela que celui ou celle qui veut convoler en justes noces avec un Chrétien n’a pas d’autre solution que se faire Chrétien(ne) à son tour. Pareil pour les Musulmans et les Juifs. Et vas-y que ça fait des clients en plus pour la messe de Noël, Yom Kippour ou le pèlerinage à la Mecque.

 

Cela dit, si avec ce putain de pacs, en Très Haut Lieu, on est dans un caca noir, le mariage homosexuel prépare aux religions du Livre des lendemains qui ne chantent pas tous des alléluias d’une justesse absolue ! C’est bel et bien un cadeau empoisonné du pouvoir temporel juchréman à son alter-ego spirituel que cette légalisation! Ponce Pilate n’aurait pas fait mieux ! Grosso merdo « on vous aide à recruter et à faire du chiffre mais on vous laisse le soin plus que délicat de trier le bon grain du livret (de famille) ! ». Total, si ça rouanne déjà pas mal chez les porteurs d’écharpe tricolore, moi-vivant-pas-question-de-marier-des-détraqués-du-divertissoir (5), combien cruel est le dilemme qui, depuis quelques jours, ruine le sommeil des porte-parole divins ! Pour l’instant ils jouent les incorruptibles et poussent des cris d’orfraie quand Maurice et Robert, Samira et Djamila ou Aaron et Abraham viennent frapper à leur huis en leur agitant fièrement un certificat de mariage sous le nez mais laissons le temps faire son œuvre… Empochera bien qui empochera le dernier cette aubaine de matrimodollars qu’on ne va tout de même pas indéfiniment abandonner aux enfants de salons évoqués plus haut !

 

En attendant, au risque de passer pour le rabat-joie de service, je n’arrive pas à me réjouir d’une mesure qui, aux yeux de nombre de braves gens apparait comme une avancée sociale. Et encore moins à croire que cette demande de « mariage pour tous » émanait des homosexuels dans leur majorité. En tout cas, ceux que j’ai l’honneur et l’avantage de côtoyer se seraient largement contentés d’une reconnaissance de leurs droits de citoyens à part entière, avantages sociaux et droit d’être pères ou mères si ça leur chante y compris.

Pour ce qui est du folklore douteux d’une institution héritée d’un âge où les femmes étaient à vendre, d’une culture étouffante dans laquelle tout a un prix, même les sentiments, on aurait tout à gagner à laisser tomber.

 Quelle que soit notre orientation sexuelle.

 

 

(1) En 2010 ont été signés trois pacs pour quatre mariages. Depuis le 28 mars 2011, le pacs peut être conclu devant un notaire, ce qui pose des difficultés de remontées de statistiques pour les années 2011 et 2012 ( sources Wikipédia)

(2) Allez vous renseigner par vous-mêmes, j’en ai marre de vous mâcher le boulot sans arrêt.

(3) Lire “ Les aventures de Moïse”

(4) Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (allez savoir où est passé le « J » !)

(5) « divertissoir » = entrejambes en patois auvergnat

Le mariage pour personne, svp!

Comme le proclamait si pompeusement la calamité naine à gros derrière et longues oreilles pointues qui nous a servi de leader démocrasseux pendant cinq trop longues anneries: “les mots ont un sens”.

…Ainsi qu’une étymologie, m’empresserai-je d’ajouter : “mariage” dérive du latin mas/maris = le mâle. Les moins futés d’entre vous auront déjà compris que le jour où nos ancêtres les Romains mirent au point cette délicate imitation d’une pratique bien connue des éleveurs de bétail – ne dit-on pas que l’on “mène la femelle au mâle”? – n’est pas à graver sur le calendrier des innovations les plus follement émancipatrices de la saga homosapienne-sapienne.

Vous me direz que ça partait d’une bonne intention. Jusques alors, à part peut-être chez nos ancêtres les Egyptiens de l’époque pharaonique mais y a rien de sûr, les bipèdes à foufoune étaient encore plus la propriété absolue de leurs géniteurs que leurs collègues à bistouquette. Un genre de bien mobilier à échanger en cas de besoin contre une paire de chèvres et trois kilos de pommes de terre, histoire de compenser la honte mais surtout le manque à gagner de ne pas avoir pondu un être vivant à part entière. Citons un passage relativement explicite du Talmud (1) cher à nos ancêtres les Hébreux :

 « Tout individu de sexe masculin est tenu de prononcer trois bénédictions : pour remercier Dieu d’avoir fait de lui un Israélite, de ne pas l’avoir fait naître femme, de ne pas avoir fait de lui un rustre. »

 

Donc, vers l’an 2500 avant Jérôme Cahuzac, nos ancêtres les Romains nous concoctent un système juridique de derrière les fagots permettant à l’aspirant « mari » d’acquérir la fille de son voisin sans avoir recours au kidnapping, au cas où il n’aurait pas trois kilos de patates sur lui et, surtout, sans craindre de se la voir kidnapper à son tour par un mauvais plaisant.

C’est toujours attendrissant quand la loi protège les amoureux.

En même temps la loi des hommes on sait ce que c’est et les déclarations de droits inaliénables et sacrés ça va, ça vient. Dieu, le vrai, un bref instant dépassé, côté organisation, par une bande de païens élevés au lait de louve, se devait de reprendre la main dans un jackpot d’une pareille importance!  Il ne s’agissait de rien de moins que du droit de chacun et chacune à vivre pleinement et sans contrainte avec la personne de son choix l’expérience fusionnelle ultime du rapprochement émerveillé de deux cœurs innocents dans la douceur embaumée d’un printemps à jamais printan…rrrrrrrr…zzzzzzzzzz.

D’une part…Et d’autre part, même si c’était là un bonus tout à fait secondaire et bassement matérialiste, voire trivial et inapproprié, le « mariage » (ça sonne quand même mieux que « mâlification » qui, de surcroît, n’existe pas) permettait d’officialiser de menus détails et autres clauses touchant à la paire de chèvres et aux  pommes de terre, ou « dot » , dont on parlait quelques lignes plus haut.

Alors là, illico presto, comme à chaque fois qu’il y a de la domination dans l’air et de la thune à la clé, profitant habilement du déclin de l’empire – les derniers césars, occupés à plier les Gaules, si je puis dire, avaient d’autres chats à fouetter que faire breveter leur invention – les autorités juchrémanes, chacune à sa manière, se chargèrent de la récupe, au nom de leur grand barbu préféré.

Au point de faire du mariage la condition sine qua non d’une vie de croyante pleinement réussie.

C’était  grande merveille de voir Juifs, Chrétiens et Musulmans enfin d’accord sur un truc, même si un tantinet au détriment des filles d’Eve. Mais, après tout, à qui la faute ? (Cinq fruits par jour qu’on voudrait nous faire avaler !… On voit bien où ça nous a mené avec un seul !)

Donc, ne fut-ce que pour cette histoire de dot et de ses effets alléchants sur les héritages à venir, « ok pour le « mariage » !!! (ce mot fait vraiment plus chic que, disons, « pénétration », même divinement assistée, non ?) qu’ils ont crié tous en chœur, nos ancêtres les rabbins, imams et papounets à leur mémère…A condition de s’arranger pour que la mariée se tienne grave à carreau, bien évidemment…

On a noté plus haut, la considération distinguée en laquelle nos ancêtres les Juifs tenaient leurs femmes. Eh ben chez nos ancêtres les Chrétiens du Nouveau Testament, il n’était pas question de prendre de risque non plus. Pas vrai Paulo ?

 « Comme l’Église est soumise au Christ, qu’ainsi les femmes le soient aussi en tout à leur mari.» (2)

 

Cela posé, si vous cherchez des conseillers matrimoniaux vraiment pointus, nos ancêtres les Musulmans des origines sont à votre disposition 24/24. Le Coran est tellement truffé de recettes sympas et pas chères pour être heureux en ménage que je propose à mes lecteurs de les recenser eux-mêmes cet été sur la plage (ou au bistrot vu la météo qui se profile à l’horizon).

En teasing je propose tout de même ce modèle de (cir)concision:

 « Ô vous, les croyants !
Vos épouses et vos enfants sont vos ennemis !
Prenez garde ! » (3)

 

C’est sûr que quand le dieu des Juchrémans se lance dans un projet socio-économico-idéologique, il ne laisse rien au hasard. On l’a amplement constaté avec le coup du « prêt à intérêt »(4).  Pour ce qui est du « mariage » (y a pas à dire c’est mastra plus classe que l’équivalent étymologique « intromission », de droit aussi divin soit-elle) il fallut attendre un bon double millénaire pour que le monopole monothéiste qui s’était abattu sur l’invention romaine, et ses conséquences sur le statut de l’épousée rosissante de bonheur anticipé, prenne fin.

Et encore cela ne s’est pas fait tout seul. Si le principe du mariage civil est inscrit dans la Constitution du 3 septembre 1791 qui instaure une monarchie constitutionnelle en France, Bonaparte, en bon cul-béni de Corse, s’empresse de rétablir le mariage religieux, à condition toutefois qu’il soit précédé d’une cérémonie civile. Inscrite dans l’article 214 du Code du même nom, cette décision a un je-ne-sais-quoi d’incompréhensible : vu la récente « séparation de l’Eglise et de l’Etat », une loi n’a pas à se mêler de pratiques cultuelles, de quelque superstition majoritaire qu’elles proviennent.

 

D’une manière plus générale, puisqu’on est dans l’incompréhensible, comment justifier une quelconque ingérence des factions religieuses dans un domaine qui, après tout, ne concerne que les intéressés dans leur intimité la plus intime ? Comment expliquer un acharnement qui, curieusement, n’a d’égal que celui de l’Etat à fourrer son gros nez dans la culotte des « amoureux qui se bécotent sur les bancs publics » chers à Brassens ( qui a passé toute sa life bien “peinard” avec sa copine sans jamais éprouver le besoin morbide de voir leurs noms “gravés au bas d’un parchemin” ?)

…Sinon par le navrant constat préalable que, hormis quelques veinards, orphelins ou assimilés, un citoyen n’est pas un être en soi mais, pour une grande part de son petit trou de balle, l’émanation objective d’un groupe social plus vaste, appelé « famille », lui-même affilié à un groupe plus vaste encore, la « classe sociale », qui a plus ou moins à gagner ou à perdre, en termes de « patrimoine », à son rapprochement avec un autre groupe social, et que, sitôt qu’il y a du pouvoir à prendre les uns sur les autres, savoir, dans nos sociétés juchrémanes modernes : de l’argent à gagner, on trouve un rabbin, un évêque ou un uléma pas loin, et, juste derrière, une loi, souvent tout ce qu’il y a de démocratique, pour assurer sa protection. A moins que ce soit le contraire. Toujours cette vieille histoire de la poule et de l’œuf.

Non seulement le business matrimonial et ses chaînes de montage d’héritiers indéboulonnables, des rois de France et d’ailleurs aux tycoons de Wall Street en passant par nos éternelles « classes moyennes » (notez le petit pluriel qui va bien quand on parle de ces charmants écureuils à poil ras qui, au fil du temps, bondissant d’une branche à l’autre de leurs labyrinthiques arbres généalogiques, font proliférer des tas de noisettes amassés à la sueur de bons du trésor laborieux et autres assurances-vie) opère des rapprochements œcuméniques plus que miraculeux mais il proclame, plus haut et plus fort que n’importe quel autre hymne à la contre évolution de l’espèce humanoïde, la traditionnelle collusion des pouvoirs dits « temporels » et « spirituels ».

 Voilà donc succinctement exposés les tenants et aboutissants d’une institution archaïque qui, il y a une quarantaine d’années, l’amélioration de la condition féminine aidant, semblait appelée à disparaître au profit de schémas de vie commune moins contraignants pour les postulants à l’exultation copulative au long cours. Les anars n’étaient plus les seuls à prôner l’ « union libre » même si – mesquine vengeance de juristes empêtrés dans leurs marasmes conjugaux personnels – on affublait cette pratique, pourtant ô combien oxygénante pours les corps et les cœurs, d’une appellation volontairement décourageante : le « concubinage ».

Reconnaissons que le terme sonne nettement moins distingué que « mariage » dont l’étymologie sent pourtant son slip de bien plus loin, puisque, étymologiquement, comparé au mari , ce « mâle » triomphant, le concubin n’est après tout que « celui qui couche avec ».

Cette remarque me permet d’enchaîner habilement sur la seconde et dernière partie du présent article : « Mais que nos ami(e)s homosexuel(le)s viennent donc faire dans cette galère de « mariage pour tous ? »

 

…. à découvrir dans le prochain plat-du-jour sur FYR.com, where else ?

 

 

(1) Menakhoth, Sacrifice des farines

(2) St Paul  (Éphésiens, V, 21-24) 

(3) Coran, LXIV,14

(4) lire Les aventures de Moïse