Archives mensuelles : avril 2020

Ramadan de sagesse (place aux jeûnes!)

Dans la foulée du jeûne des Pâques  juive et chrétienne, le 3ème petit cochon juchréman se met à son tour temporairement au régime.

C’est que le salut éternel à la droite du dieu des commerçants  («Le marchand sincère et de confiance sera, au jour du Jugement,  parmi les prophètes, les justes et les martyrs»*), ça se mérite !

Pareil  qu’un bon kashrout à la table du dieu du prêt aux étrangers (« L’Éternel, ton Dieu, te bénira comme il te l’a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n’emprunteras point ; tu domineras sur beaucoup de nations, et elles ne domineront point sur toi. »)**

Ou une hostie arrosée au vin de messe à la buvette du dieu des banquiers («  Il te fallait donc remettre mon argent aux banquiers, et, à mon retour, j’aurais retiré ce qui est à moi avec un intérêt. ***)

Tiens et si vous profitiez du « confinement » (Larousse :  « Situation d’une population animale trop nombreuse dans un espace trop restreint et qui, de ce fait, manque d’oxygène, de nourriture ou d’espace »)   pour relire ici même « Les Aventures de Moïse » ?

 

* Sunna

** Torah/ Deutéronome

*** Évangile de Matthieu

Radio salope

 

Un coucou en passant aux mangeurs de cadavres. Ce matin au réveil sur une radio périphérique, une grognasse disait que c’était chouette de faire plaisir aux enfants. Jusque là rien à redire. C’est sur la façon d’y parvenir que ça se gâte. Selon cette sous-merde incurable, vos chiards, pour leur donner le sourire, FAITES-LEUR DONC BOUFFER DU VEAU! Escalope à la crème ou rôti, comme la voulvoul mais par pitié aidez nos éleveurs confinés. Bon ben toi, t’es juste une salope qui, je le répète, peut crever quand elle veut de la grippe aviaire, de la vache folle ou du conardo. C’est tout, merci, je te rends l’antenne avec un peu de vomi dessus.

Shoah pascale

 

Je sais c’est pas gentil mais j’espère que tous les bipèdes à poil ras qui auront, de près ou de loin, trempé dans la shoah des 600 000 agneaux de Pâques de cette année, crèveront la gueule ouverte. Du conardo ou de n’importe quoi de douloureux de préférence. Les braves croyant(e)s qui auront planté leurs fourchettes dans la chair tendre de mes frères et sœurs, les vrai(e)s, pareil.

Solidarité avec les chauves-souris et les pangolins.