heu… Je résume : si Dieu existe, c’est nous, à titre individuel.
S’il n’existe pas, surtout s’il n’existe pas, c’est nous aussi.
Maintenant, postulons que,
tel le chat de Schrödinger (avant d’ouvrir la boîte de croquettes),
Dieu évolue dans une superposition de deux états équiprobables :
existant et non-existant,
alors nous sommes en mesure de comprendre la fin de « Mars 2221, roman ».
Sinon c’est pas grave. Même sans en comprendre la fin, les amateur(e)s de littérature soignée, intelligente et inventive s’accordent à recommander « Mars 2221, roman » à toute personne soignée, intelligente et réceptive, existante ou non-existante et à ses descendant(e)s ou non-descendant(e)s aux siècles des siècles (quelque soit le sens du temps).