 Ardent défenseur du gaulois moderne, au point de parfois me trouver en délicatesse avec de gentils amis myspace un peu gentiment connards qui – mais cela part d’un bon sentiment – se prenant soudain pour Evelyne Dhéliat ou Laurent Delahousse me gratifient d’une « belle journée à toi », me contraignant à leur retourner l’affabilité dans des termes qui leur siéent, de leur dire « beaujour! » et « beau courage! » et « bel appétit, beau sang de beau soir! ». Beau bref, malgré mon respect jamais démenti pour la tradition lexicale françoise, je me vois au regret aujourd’hui et bien exceptionnellement et concernant une affaire qui ces temps-ci fait grand bruit dans les média (sans « s » puisque déjà pluriel de « médium ») d’avoir recours, dans le but de définir au plus près mais aussi le plus succinctement possible car j’ai horreur des phrases qui n’en finissent pas, l’intérêt que, tous critères confondus, ce non-évènement suscite en moi, recours, disais-je, à un monosyllabique bien connu des anglicistes distingués que, chers amis blaireaux, nous sommes tous par la force des choses devenus : FUCK!
Ardent défenseur du gaulois moderne, au point de parfois me trouver en délicatesse avec de gentils amis myspace un peu gentiment connards qui – mais cela part d’un bon sentiment – se prenant soudain pour Evelyne Dhéliat ou Laurent Delahousse me gratifient d’une « belle journée à toi », me contraignant à leur retourner l’affabilité dans des termes qui leur siéent, de leur dire « beaujour! » et « beau courage! » et « bel appétit, beau sang de beau soir! ». Beau bref, malgré mon respect jamais démenti pour la tradition lexicale françoise, je me vois au regret aujourd’hui et bien exceptionnellement et concernant une affaire qui ces temps-ci fait grand bruit dans les média (sans « s » puisque déjà pluriel de « médium ») d’avoir recours, dans le but de définir au plus près mais aussi le plus succinctement possible car j’ai horreur des phrases qui n’en finissent pas, l’intérêt que, tous critères confondus, ce non-évènement suscite en moi, recours, disais-je, à un monosyllabique bien connu des anglicistes distingués que, chers amis blaireaux, nous sommes tous par la force des choses devenus : FUCK!
FUCK NANO BOY et son inaptitude exponentielle à prendre la moindre décision d’ordre politique ou social suggérant, entre ses oreilles pointues – y a bien qu’elles – la présence d’un quelconque neurone actif, inaptitude qu’il croit finaud de compenser en général et, en particulier dans l’affaire* qui nous occupe – les mauvaises langues suggéreront traîtreusement que c’est là le but de toute l’histoire, à l’heure où les derniers « miraculés » du « séiZme » ne retiennent plus que par inadvertance l’attention des cafteurs professionnels (voir plus bas) – par une mesquinerie sans faille doublée d’un fantasme récurrent peu commun autant que délicieusement impressionniste, le fameux « croc de boucher ».
FUCK NICK DEVIL, goliste distingué, historien qu’un peu, poète à 16 heures 30, magouilleur invertébré mais surtout apprenti-mécanicien maladroit qui, surpris debout à côté de la bagnole, les mains encore luisantes d’huile de moteur, jure ses grands dieux qu’il en a jamais ouvert le capot et pleure sa mère que ouin ouin ouin y a pas de justice dans ce putain de pays de merde!
Comment ça, « pas de justice », monsieur l’Elégant? A ce que je crois savoir, dans notre bel et bon pays:
– les pauvres n’ont pas de sous, ce qui semble tout à fait cohérent.
– les personnes privées d’emploi sont au chômage, quoi de plus normal?
– les SDF couchent dans la rue comme indiqué sur leur CV.
– malgré la Krize Intergalactique qui fait rage et les efforts ignobles de Dark Vador, toujours lui, ce pédé, pour anéantir le Monde Libéral, les héroïques patrons du Caca-Rente continuent à se rembourrer le larfeuille comme aux plus beaux jours. Quoi de plus juste à cela en vérité? Manquerait plus que la pitoyable incapacité du peuple à prendre sa destinée en main nuisisse à ses généreux bienfaiteurs.
« Last but not least », comme se plaisent également à dire nos amis Outre Manchois: FUCK LES JOURNALEUX DE CHIOTTES, de la télé, de la radio, des gazettes, qui nous gavent avec les interminables chamailleries de ces vermines! Qu’ils aillent tous mourir en Afghanistan ou ailleurs, ces Tintin et Milou au Pays de l’Arnaque! Ouais, barrez-vous, tas de fouille-caca ou alors commencez enfin à faire votre métier qui est de rendre compte de LA VRAIE VIE DES VRAIS GENS QUI SONT VRAIMENT DANS LE VRAI BRUN JUSQU’A LA RACINE DE LEURS VRAIS CHEVEUX, et si c’est pas trop vous demander: EN VOUS MOUILLANT UN CHOUÏA POUR FAIRE AVANCER LES CHOSES!
* « Clearstream », de « clear » = clair, limpide et de « stream » = ruisseau, courant, flot, jet, torrent, fleuve, déluge …Le premier qui rira sera une tapette!
 Hier soir, comme pas mal de blaireaux dans votre genre, j’ai pas pu résister à l’envie de voir Nano Boy résister à l’envie de secouer ses larges épaules avant de se triturer le nez puis se gratter les couilles sous la table tandis qu’il lâchait en plein vol ses absurdités à une bande de zombies triés sur le volet (sauf un genre de Martien qui finirait par vous réconcilier avec la CGT, une erreur de casting sans doute). Son comparse, JP Pernod-Ricard, veillait au grain, vous me direz. et le récepteur ondes moyennes que ce grand fayot tenait serré entre les fesses vibrait à la moindre situation délicate dans laquelle le play boy déconnant se voyait sur le point d’être piégé. « Monsieur le Président, est-il normal qu’un branleur sans intérêt ramasse en un mois de quoi nourrir 300 personnes pendant un an?…. » bzzzzzrrrrdingdong dans le cul de JP, alors JP il disait « …hum Monsieur le Président, le temps nous est compté, précipitons les choses voulez-vous? » et Nano, impérial, de se plaindre qu’il voulait quand même , passque c’est vachement important pour les cons d’être pris pour tels, essayer en toute franchise de ne pas répondre à la question. Et le JP de se retenir de se fendre la gueule et les zombies de retenir une larme quand Nano les appelait par leur prénom:   « mais oui Marguerite, t’es dans le brun jusqu’aux yeux mais ils sont beaux tes yeux, je suis sûr que tu suces mieux que ma douce Carrelage, qui sait si tu pourrais pas te lancer dans le murmure, je veux dire la chanson, toi z-aussi?.. » bzzzzzzrrrrrrrrrrrrrdingdong dans le cul de JP :  « …..hum, Monsieur le Président, le temps….etc….etc ».
Hier soir, comme pas mal de blaireaux dans votre genre, j’ai pas pu résister à l’envie de voir Nano Boy résister à l’envie de secouer ses larges épaules avant de se triturer le nez puis se gratter les couilles sous la table tandis qu’il lâchait en plein vol ses absurdités à une bande de zombies triés sur le volet (sauf un genre de Martien qui finirait par vous réconcilier avec la CGT, une erreur de casting sans doute). Son comparse, JP Pernod-Ricard, veillait au grain, vous me direz. et le récepteur ondes moyennes que ce grand fayot tenait serré entre les fesses vibrait à la moindre situation délicate dans laquelle le play boy déconnant se voyait sur le point d’être piégé. « Monsieur le Président, est-il normal qu’un branleur sans intérêt ramasse en un mois de quoi nourrir 300 personnes pendant un an?…. » bzzzzzrrrrdingdong dans le cul de JP, alors JP il disait « …hum Monsieur le Président, le temps nous est compté, précipitons les choses voulez-vous? » et Nano, impérial, de se plaindre qu’il voulait quand même , passque c’est vachement important pour les cons d’être pris pour tels, essayer en toute franchise de ne pas répondre à la question. Et le JP de se retenir de se fendre la gueule et les zombies de retenir une larme quand Nano les appelait par leur prénom:   « mais oui Marguerite, t’es dans le brun jusqu’aux yeux mais ils sont beaux tes yeux, je suis sûr que tu suces mieux que ma douce Carrelage, qui sait si tu pourrais pas te lancer dans le murmure, je veux dire la chanson, toi z-aussi?.. » bzzzzzzrrrrrrrrrrrrrdingdong dans le cul de JP :  « …..hum, Monsieur le Président, le temps….etc….etc ». J’ai du mal à cacher mon émotion. Ce matin, entre la réapparition de deux « miraculés » du séiZme et la mort/coma profond de 3 odieux ados voleurs de scooter explosés par une brave patrouille de police municipale, mes journaleux chéris m’ont glissé que Henri Proglio, patron fossoyeur d’EDF – sonnez hauts-bois, résonnez musettes, encore un miracle – avait « renoncé » – ça y est je pleure – à se mettre 400 000 euros supplémentaires dans les fouilles et n’en ramasserait donc plus que 1, 600 000 à la fin de l’annerie.
J’ai du mal à cacher mon émotion. Ce matin, entre la réapparition de deux « miraculés » du séiZme et la mort/coma profond de 3 odieux ados voleurs de scooter explosés par une brave patrouille de police municipale, mes journaleux chéris m’ont glissé que Henri Proglio, patron fossoyeur d’EDF – sonnez hauts-bois, résonnez musettes, encore un miracle – avait « renoncé » – ça y est je pleure – à se mettre 400 000 euros supplémentaires dans les fouilles et n’en ramasserait donc plus que 1, 600 000 à la fin de l’annerie.

 Le tremblement de terre (prononcer séiZme) qui vient de frapper un des coins les plus misérables de la machine ronde nous donne – à quel prix! – un nouvel aperçu des capacités insondables de nos fiers « journalistes » dans le domaine de la surenchère d’écrasements live, amputations comme si vous y étiez, sanguinolances en color climax, afflictions de circonstance de la vieille poupée Claire, Laurence Fènourire et du petit David avant de passer aux classement de la ligue1, mais aussi de la lenteur cafouilleuse des désorganisations humanitaires à sauver ce qui pourrait l’être encore et éviter le pillage fratricide de ce qui reste à bouffer. Chaque chose en son temps et procédons étape par étape:
Le tremblement de terre (prononcer séiZme) qui vient de frapper un des coins les plus misérables de la machine ronde nous donne – à quel prix! – un nouvel aperçu des capacités insondables de nos fiers « journalistes » dans le domaine de la surenchère d’écrasements live, amputations comme si vous y étiez, sanguinolances en color climax, afflictions de circonstance de la vieille poupée Claire, Laurence Fènourire et du petit David avant de passer aux classement de la ligue1, mais aussi de la lenteur cafouilleuse des désorganisations humanitaires à sauver ce qui pourrait l’être encore et éviter le pillage fratricide de ce qui reste à bouffer. Chaque chose en son temps et procédons étape par étape: