chef oui chef (suite de la suite)

J’ai beau me gratter les pellicules jusqu’au sang, je ne trouve rien à dire que je n’aie déjà dit sur le processus électoral en général et sur la mascarade qu’on nous sert ces jours-ci en particulier.

Raymond Macron et Georgette Le Pen sont deux têtes de cons sans intérêt. Deux de plus sur la liste déjà longue des apprentis charcutiers que la boutique Alonzenfan a vu défiler depuis sa création. Choisir entre ces deux craignos le chef que le Grand Yavallah nous objurgue de suivre au long des cinq prochaines anneries, à travers les marécages putrides de notre belle Phronce juchrémane, relève de la mauvaise blague. Toujours la même. Il y a longtemps qu’elle ne me fait plus rire.

Deux minuscules consolations :

1/ la semaine dernière ils étaient onze. On a réussi à en semer neuf.

2/ la grosse viking à son popa nous lâche un bout de jambon. Vive le printemps.