Archives mensuelles : mai 2008

Flux

Des fois je me demande qui est DJMat. Existe -t-il réellement ou bien est-il une émanation spatio-temporelle des puissances cybernétiques en action dans ce E-world qui me dépasse largement.
“Antoutétadkoz”, comme disent plein de crétins, franckyvonrichard.com est maintenant équipé d’un système de “flux” qui me fait penser aux signaux de fumée utilisés antan par nos ancêtres d’Amérique du Nord avant qu’ils soient rayés de la carte par Buffalo Bill et ses escadrons de la mort.
J’empile donc quelques branches mortes, recouvertes d’herbe plus fraîche pour une fumée en caractères gras et je sors ma petite couverture en poils de bison.
Pour inaugurer le nouveau gadget de DJ je propose bien sûr une bonne nouvelle: “Polar” est maintenant tout prêt de surgir des pages cachées du site et bondir jusqu’à vos oreilles. “Polar” vous sautera aux yeux également puisque, en plus des illustrations habituelles, trois kinos sont déjà dans les starting-blocks.
Bon, faut que j’arrête avec mes locutions yankees: en quelques lignes j’ai déjà dit “E-world” et “starting-blocks”. Et “yankee”. Il ne manquerait plus que je vous cause de “prizonebrèk” ou “sèksindzeciti”.

A la prochaine!

quelques éclaircissements

Alors qu’à l’horizon du site se profile un nouvel album (Polar), laissez-moi vous fournir quelques éclaircissements sur le contenu de la page “chansons” à ce jour:

franck-yvon richard : C’est le titre de l’album. Il règne sur les douze morceaux une petite ambiance “variète” qui peut déplaire aux puristes. Pourtant “vive la mariée”, “fusionnel” ou encore “propriétaire” (entre autres) ne présentent aucune ambiguïté quant au traitement rock n’roll des sujets abordés: dieu et le sexe, le couple en interne, les marchands de sommeil etc…

Les Boules : C’est le nom du dernier groupe au sein duquel j’ai eu l’honneur et l’avantage d’évoluer. Du temps où Patrick s’appelait “Bébert” et Bruno “Grands-Pieds”. On a répété comme des fous pendant un an ou deux avant d’oublier de chercher des concerts.

Titanic : le disque qui a failli me rendre célèbre.

piano, chant: mézigues
synthés: Frank Vigne
percs: Patrick Imbert
basse: Gilles Bourdin
enregistré et mixé en Nov. 81 au studio Laguna (Paris 18e) par Alain Pype.

Au dos de la pochette de ce vénérable 45t, à côté du logo RCA, la “major” entre les “majors”, s’en faufile un autre, beaucoup plus énigmatique: “Chère Crainte”. Un jour, je vous raconterai l’histoire de “Chère Crainte”…

News Deuxième

Le festival de Cannes, c’est pour les blaireaux. M. de Jouve n’a pas jugé opportun d’y présenter son nouveau clip. Il en a réservé la primeur à franckyvonrichard.com. Découvrez-le dans Kinos.