horripilation (vol6)

1

Décidément la famille Pileux du Museau ne sait plus où donner des poils.

2

Que de sueur! Que d’épuisement pour rester au top de la frime!

11

Après la harassante “montée des marches” vers les zôneurs et la glouare pelliculaires (horripilation vol5), le petit peuple des starlettes post modernes s’en va déjà, de ses mignons petons nikés, battre la terre ingrate de Roland Gravos.

3 5 7

Sous les regards enraybannés du gratin beaufinois désœuvré en quête de sensations mortes,

13 12

de fringants barbants barbus de 3, 6, 9 jours et plus vont, d’interminables après-midi mondains durant

8

ahaner sans relâche leurs désirs de conquête,

14 10 9

infatigablement scrutés, sur le ton de la confidence éclairée, par de savantes commères radiotélévisuelles

15 16

à la tronche de cake réglementairement hérissée – post modernité juchrémane oblige – de ses redoutables tiges pilaires  (mais, Yavallah soit loué, ça s’entend pas “à l’antenne”).