dans les griffes de #groscoucoubleu

Amis masochistes bonjour ! Pour les cèlzéceux que les soli de pipeau surréalistes du petit zozotteur national et sa bande d’ahuris n’auraient pas encore poussé(e)s au suicide préventif, à fyr on a trouvé encore + imparable pour sombrer corps et bien dans le désespoir :

OUVRIR UN COMPTE TWITTER !!!

Non pas que les « TT » (tweets tendance !) soient spécialement folichons ni que les échanges d’insultes entre abonnés qu’ils engendrent donnent envie de croire en des lendemains qui gazouillent. Non, en vérité on vous le dit, c’est surtout le mode de fonctionnement en lui-même du « réseau social » (rires) au petit oiseau  qui peut venir sans problème à bout de la patience la plus éprouvée du sage à la zénitude la plus imperturbablement impassible.

Il faut savoir que la fine équipe qui préside aux destinées fluctuantes dudit « réseau social » (rerires), c’est grosso merdo trois ou quatre bricolos en informatique shootés à la coke et payés pour essayer de comprendre comment ils ont pu en arriver à passer la main à une horde de robots + obtus les uns que les autres. Que les autres et que leurs créateurs qui – tout bien pesé et les abonnés bien baisés – n’ont que 3 idées en tête :

  1. Faire de la thune
  2. Faire de la thune
  3. Faire de la thune

À l’image du PDG de Twitter (et de « Square », une « firme de paiement » sic). Un certain Jack Dorsey 

Pour vous  situer l’animal, la semaine passée, Jack le Yack a encore acheté pour 50 millions de dollars de bitcoins. Comme il dit: « le bitcoin, c’est la monnaie native d’internet ». Native de parents trop connus : l’appât du gain et l’embrouille.

Donc Twitter veut faire du business. Alors, pour impressionner ses actionnaires, Twitter a besoin de bonnes grosses stats. Alors Twitter racole. Twitter raconte à qui veut l’entendre que pour s’inscrire, il suffit d’une adresse email. Une ou plusieurs. Afin d’ouvrir plusieurs comptes. Afin, je cite, d’ « explorer plusieurs facettes de notre identité ».

Génial ! C’est parti.

Tout con(fiant), je prends 1 (2, 3, 50, selon le nombre de facettes de mon identité à exprimer) abonnement(s) . Gonflant joyeusement les stats de #groscoucoubleu.

Mais ce que je sais pas c’est que #groscoucoubleu il a des billes dans la vente de mobiles !

Je vais voir les « règles » in question : celui qui réussit à y griller quelque chose, faut qu’il arrête le LSD.

Mais en fait tout va bien. #groscoucoubleu il m’explique que, calmons-nous, il y a toujours moyen de moyenner. Suffit que je lui lâche… mon numéro de portable ! Et, si j’ai pas de portable, j’ai qu’à en acheter un ! Ou 2, 3 ou 50 (toujours selon le nombre de facettes etc…).

Et, des fois que j’aimerais quand même un complément d’info sur ce qui m’arrive, il y a un formulaire sur « Twitter support » :

Alors j’ai le choix.

Soit je lâche pas de n° de mobile, puisque facultatif.  Auquel cas #groscoucoubleu « suspend » purement et simplement mon compte MAIS GARDE MON ADRESSE EMAIL en trophée pour continuer à se la péter sur son soi-disant nombre d’abonnés !

Soit je craque. Pour pas perdre un compte que j’ai mis des mois, voir des années à construire, pour pas perdre des centaines d’abonnés à qui j’ai fini par m’attacher (le + souvent sans raison) je finis par me payer un mobile et je balance mon n° .

Auquel cas, selon l’humeur de #groscoucoubleu (et l’intérêt financier qu’il a à me garder).

1/ Twitter me fait l’honneur d’avoir la bonté de me réintégrer dans son cheptel de vaches à lait.

2/ Twitter n’a aucun intérêt financier à me garder. Mettons, par exemple, que j’aie refusé systématiquement ses propositions de maquereautage – pardon, de sponsorisation – bien lourdes et maintes fois réitérées :

Dès lors, voyant qu’il ne se fera pas de blé sur mon dos, #groscoucoubleu me raconte des craques (ça dure des semaines) pour m’empêcher de lui donner mon tél et donc avoir un motif de me sucrer mon compte

…MAIS GARDE MON ADRESSE EMAIL pour ses stats (voir + haut)

Et si j’ai encore un peu de temps à perdre pour demander des explications, ce preneur d’ôtages compulsif de Jack le Yack qui, à force d’en fabriquer à la pelle pour gérer son entreprise hasardeuse et en justifier la stagnation pathétique, fait semblant de voir des robots partout me fait répondre ceci :

Remarque ce que tu veux, Jack. Finalise mon cul, Jack. Tout ce que je note, c’est que ton « réseau social » (rererires), c’est juste un site de rencontre entre pigeons consentants et vendeurs de n’importe quoi de préférence.

Sauf que personne achète jamais rien sur ce marché de dupes. Les gros naïfs qui se sont laissé « sponsoriser » par #groscoucoubleu l’ont appris à leurs dépens. Jusqu’au sexy Donald T., dernière recrue des Village People. Oubliant les fortunes qu’il a dû te lâcher, sur l’ardoise de ses contribuables covidés jusqu’au slip, tu finis par le « verrouiller » lui aussi, ce taré, histoire de commencer à lèchecuter dignement son successeur.

J’ai un seul regret. Pas avoir été mis + tôt au courant de ton casier judiciaire, Jack le Yack.

le 7 août 2018, le Tribunal de Grande Instance de Paris, a condamné Twitter à supprimer plus de 250 clauses abusives et/ou illicites présentes dans ses « Conditions d’utilisation ». Parmi lesquelles…

« clôturer le compte d’un utilisateur en conservant notamment son nom sans limitation de durée »

“Twitter, ce qu’il se passe” (dans la teutê d’un escroc)