 Salut les goinfres!
Salut les goinfres!
Que « Souza » et « padéçu » m’excusent de les avoir fait attendre mais j’étais aux cabinets, dormant à poings fermés suite à la lecture d’un article de presse concernant le dernier remaniement ministériel.
« J’ramass’ les cartes, je bats les cartes, je donne les cartes… » C’était quelle chanson déjà? En tout cas le Nain s’en inspire chaque jour un peu plus.
Malgré une mention spéciale pour l’ Immaculée Nathalie souriant aux anges intervenus en faveur de sa nomination aux escarres du Secrétariat d’Etat-aux-Crottes-de-Chien – quelle promotion après tous ces mois à sauter d’un placard à l’autre dans les sous-sols du Ministère de la Technique-de-Surfarce de tonton Berlot – le lauréat qui m’éclate le plus, c’est Besson Mac Hulotte (je ne me souviens jamais de son prénom, le confondant avec celui d’un autre metteur en scène, encore plus gras) ! Si dans mon prochain kino j’ai besoin d’un Judas accompli, maintenant je sais à qui m’adresser.
En une petite vingtaine de mois ce garçon était, comme chacun sait, passé du statut, certes discutable et ô combien inutile, de gauchiste-caviar auteur d’écrits assassins stigmatisant les propositions démago-racistes du candidat Sarko à celui de cireur-de-talonnettes-en-chef du même après sa fulgurante ascension à la fonction pestilentielle. Mais voilà-t-i pas que, suite à la qualité des services rendus aux pieds de son nouveau maître (on imagine à quelle altitude il faut descendre pour un boulot pareil) on le retrouve aujourd’hui au poste très chrétien de Botteur-de-Culs-Bronzés national. Il reste dans la chaussure, vous me direz.
Comment ne pas se réfugier dans le sommeil au constat d’une aussi navrante actualité?
Mais bon, me v’là réveillé et peu disposé à m’éterniser sur les facéties du minuscule, ni sur les microscopiques ne demandant qu’à se prêter à son jeu. Il y a des choses plus importantes dans la vie. Comme de retrouver un vieux copain, perdu de vue depuis des millénaires… Cèlzéceux qui préfèrent, comme moi, lire les messages des visiteurs plutôt que mes plats indigestes qui causent de trucs qu’intéressent pas les jeunes auront peut-être remarqué le passage discret sur ce site d’un certain « Bébi »…
Et puisqu’on est dans les vieux copains, je voudrais également glisser une petite tendresse à Emilie qui vient de traverser une mauvaise passe.
A part ça tout baigne. D’autant que DJMat, jamais à court d’idées, nous a bricolé un petit scrap-book des familles, ainsi qu’un nouveau magic device permettant d’inclure un bref commentaire de présentation des kinos.
On vous gâte.
 A
A  Là-bas, un mois et 900 méchants civils morts plus tard et bien plus encore d’estropiés à vie sans parler des vilains orphelins apeurés qui feront exprès de ne jamais pouvoir oublier le vacarme des obus écrasant leurs sales maisons pleines de terroristes, un courageux petit état paranoïaque continue à se défendre contre de gentils rocket boys qui, par habitude plus que par désir de se mal conduire, continuent à énerver le courageux petit état qui, depuis 40 ans s’efforce courageusement de s’installer chez eux.
Là-bas, un mois et 900 méchants civils morts plus tard et bien plus encore d’estropiés à vie sans parler des vilains orphelins apeurés qui feront exprès de ne jamais pouvoir oublier le vacarme des obus écrasant leurs sales maisons pleines de terroristes, un courageux petit état paranoïaque continue à se défendre contre de gentils rocket boys qui, par habitude plus que par désir de se mal conduire, continuent à énerver le courageux petit état qui, depuis 40 ans s’efforce courageusement de s’installer chez eux.