parti pris

Salut les goinfres

Comme j’en ai un peu marre d’aboyer après la caravane de la société capitaliste, pardon, libérale ( et moi je m’appelle Léon ) sans aider à trouver une solution décente pour toutes ces pauvres meufs et tous ces pauvres keums qui pâtissent chaque jour un peu plus douloureusement d’avoir à fouiller dans ses poubelles, voilà-t-y pas qu’aujourd’hui, jeudi 19 février 2009, annerie du Boeuf, je prends parti pour l’action d’Olivier Besancenot et de ses potes du NPA. Voilà, c’est dit et même si tout le monde s’en cogne, et lui le premier, ça me fait du bien de le dire.
Virez-moi toutes ces sangsues ( “vers marins ou d’eau douce dont le corps est terminé par une ventouse à chaque extrémité”) agrippées à leurs portefeuilles boursiers dégoulinants de sueur froide, tellement ils flippent en ce moment. Tellement ils craignent que le jour ne soit plus si lointain où leur portefeuille ils pourront aller se le faire cuire avec l’oeuf de lente qui leur sert de sens moral.
Par pitié, virez-moi tous ces patrons esclavagistes qui chaque mois ramassent de quoi nourrir une pleine antenne ANPE. Qui c’est le feignant dans l’histoire? Et surtout qui c’est le responsable si, aujourd’hui, l’antenne en question déborde jusque sur le trottoir?
Les salades pathétiques du NJM hier soir ne font, comme à chacun de ses shows douteux, que laisser dans la bouche des affamés de justice sociale, un arrière-goût d’une amertume plus qu’ indigeste.
A force d’à force, ça va finir par sentir vraiment le vinaigre.
Alors, peut-être qu’une bonne dose d’huile… De l’huile d’olivier par exemple?
Mais pas pour nous faire avaler des couleuvres, cette fois!