I was finally about to start tidying up my little garden, ill-treated by the harsh weather and a certain amount of neglect on my part when the radio, breaking the code of silence imposed by its masters, couldn’t help but whisper with the flattest of apologies (to said masters) that around twenty little Palestinians had unfortunately just died of starvation in a death camp called Gaza (they didn’t say “death camp,” so as to keep their jobs).
With “sacred” texts to back it up, Homo juchremanensis provides proof of the blatant responsibility of Abrahamic culture for the horrors that have plagued a good half of modern prehistoric bipeds for three millennia. This culture is based on the teachings of “Moses,” a Jewish prophet recognized 610 years later by Christians and then, another 610 years later, by Muslims under the name “Musa.” The key word in these teachings is “dominate.”
– God dominates “man,” who dominates woman, his “helper.” Their descendants make up the “chosen people.”
– The “chosen people” must ‘dominate’ the rest of the living world. When they cannot just kill it for food, the best way to act juchremanly is to “lend money” to the populations they want to “dominate.”
– The “chosen people” will also resort to colonization with no justification other than divine will of any territory “already inhabited,” of any land “already cultivated.”
The rest is a matter of “submission” to the “leaders” appointed by Moses (Musa) and his followers.
Any resemblance to contemporary events or actual persons is purely non-coincidental.
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J’étais sur le point de me mettre enfin à la réhabilitation de mon petit jardin menacé de toutes parts par les effets secondaires des délires homicides du sénateur Duplomb dans l’aile, plus une météo virile doublée d’une certaine négligence de ma part quand la radio, enfreignant l’omerta imposée par ses maîtres n’a pu s’empêcher de chouiner avec ses plus plates excuses (envers lesdits maîtres) qu’une vingtaine de petits Palestiniens venaient malencontreusement de mourir de faim dans un camp de la mort nommé Gaza (ils n’ont pas dit « camp de la mort », désirant conserver leur emploi).
Textes « sacrés » à l’appui, Homo juchrémanensis apporte la preuve de la responsabilité flagrante de la culture abrahamique dans les horreurs qui depuis trois millénaires accablent une bonne moitié de la bipédie préhistorique moderne. Cette culture repose sur les enseignements de « Moïse », prophète juif reconnu 610 ans plus tard par les Chrétiens puis, 610 nouvelles années ayant passé, par les Musulmans sous le nom de « Musa ». Le maître mot de cet enseignement est « dominer ».
– Dieu domine l’ « homme » qui domine la « femme », son « aide ». Leurs descendants composent le « peuple élu ».
– Le « peuple élu » se doit de « dominer » le reste du vivant. Quand il ne peut pas le tuer pour s’en nourrir, la meilleure façon juchrémane d’agir est de « prêter de l’argent » aux populations qu’on veut « dominer ».
– Le « peuple élu » aura également recours à la colonisation sans justification autre que la volonté divine de tout territoire «déjà habité», de toute terre «déjà cultivée».
Le reste est une affaire de «soumission» aux « chefs » désignés par Moïse (Musa) et ses followers.
Toute ressemblance avec des faits contemporains et des personnages existants actuellement n’a rien de fortuit ni n’est le fruit d’une pure coïncidence.
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