Archives par mot-clé : Coran

Casquettes rigolotes et chiens malades

JUifs (- 610)

Exode (Chemot)  18, 25

« Moïse choisit des hommes capables parmi tout Israël, et il les établit chefs du peuple, chefs de mille, chefs de cent, chefs de cinquante et chefs de dix. »

 

CHRÉtiens (000)

Corinthiens 11, 3

« Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. »

 

MusulMANs (+ 610)

Sourate 32, As-Sajda 24.

« Et Nous avons désigné parmi eux des chefs qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets »

 

Cette insistance du Torbico (Torah/Bible/Coran) à exiger de tout(e) bipède à poil ras qu’iel aliène son « je » au profit de celui d’un(e) autre bipède à poil tout aussi ras mais porteur(euse) d’une casquette rigolote m’a longtemps interrogé. Et puis j’ai fini par comprendre qu’elle s’inscrivait dans la volonté globale du Créateur du Prêt à Intérêt (Ju), de la Banque (Chré) et de la Mourabaha (Man) réunis de maintenir à toute force ses créatures dans une animalité sans faille. Et, comme le résume si bien Google, « de la fourmilière aux troupeaux de lions en passant par les meutes de loups et les bancs de poissons » le monde animal repose sur un système hiérarchique bien établi.

Maintenant il faut savoir qu’en plus de ses indéniables qualités d’économiste ultralibéral, notre Créateur est rusé comme une fouine ! À la vue des asticots plus que chétifs qu’Il, ne supportant plus la solitude aux siècles des siècles, avait bricolés à Son Image , Il s’est dit que, d’une part, ça n’allait pas être du gâteau pour en faire les boss de la chaîne alimentaire, mais surtout qu’ils étaient bien assez trous-du-cul pour oublier c’est qui (syntaxe préhistorique post moderne en vigueur sur Radio Phronce) qui les avait fabriqués avec juste une motte de terre truffée de pesticides. Cela posé, il faut attendre le troisième volet du projet abrahamique pour bien saisir la subtilité du plan Divin. Certes, pour dominer le monde et s’entre dominer d’autant, il fallait des chefs à cette bande de zombies …mais pas n’importe quels chefs ! « des chefs qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets », i.e. : qui croyaient fermement à la nécessité pour leurs encheffé(e)s de se comporter comme des animaux égocentrés et vindicatifs, carnivores tant qu’à faire.

Des chefs comme Morveux 75, par exemple, ou pire : Pochtrump, ou, encore pire : Vlad-le-Tordu, ou pire que pire, là on touche le(s) fond(s) : Bibi l’Escroc- Envahisseur sanguinaire-Tueur en série de femmes et d’enfants. Mais, par le vaste monde, y en a plein d’autres de ces chiens malades qui tiennent en laisse d’autres clébards, porteurs des casquettes rigolotes dont je vous parlais plus haut ! À la pelle, y en a ! Y a même que de ça, des « chefs » qui trafiquent la réalité, de façon à convaincre leurs encheffé(e)s d’aller trucider le/la voisin(e), lui/elle-même enrhumé(e) par ses propres chefs. C’est même la fonction première d’un(e) « chef », de rouler ses encheffé(e)s dans la farine pour la plus grande gloire du Créateur du Prêt à Intérêt, de la Banque et de la Mourabaha réunis.

Sauf que la réalité vraie, tamponnée, indiscutable est que la seule ennemie (et encore, pas toujours mais bon là on touche à  un autre problème) du bipède à poil ras comme de tout autre animal, c’est la Grande Faucheuse et ses techniques pour fabriquer des veuf(ve)s et des orphelin(e)s. La guerre, entre autres.

Partant, les optimistes, dont je fais partie, pensent qu’il est encore temps pour l’espèce bipède à poil ras d’ améliorer son score.  Si elle croyait un minimum en elle, à titre individuel (1+1+1+1… 8 milliards) et malgré l’entreprise de massification + dénigrement/mépris/infantilisation tous azimuts qu’est le Torbico, elle pourrait level up et passer au stade humain. Et au stade humain, y a plus besoin de chef, de « nations » et leurs drapeaux maculés d’hémoglobine. Quoi qui se passe, quoi qui nous passe à travers ce foutu crâne, au stade humain on applique en première intention et systématiquement le principe de SOLIDARITÉ ENTRE MORTEL(LE)S, toutes espèces animales incluses évidemment.

Mais tout ça vous est expliqué, démontré, en une centaine de pages, textes sacrés à l’appui, vous savez où. Je vous rebalance quand même les liens :

Homo juchrémanensis ( EpubKindle)…ou son édition en langue anglaise Homo juchremanensis ( KindleEpub)

Votre vie

Si vous me posez la question, frères et sœurs bipèdes à poil ras, ce sont les autres espèces animales qui m’intéressent. Celles que vous mangez, surtout. Après les avoir vaccinées, nourries, puis transportées dans des cages roulantes jusqu’aux camps de la mort où, avant de tomber sous les coups de vos bourreaux délégués, elles auront senti l’odeur du sang, de la panique, de la souffrance de celles qui les ont précédées. Mais évidemment je pense également à celles qui, dans un mois au beau pays de Phronce, s’enfuiront à travers futaies desséchées et maïs traîtreusement laissés sur pied par nos braves épandeurs de mort, ou bien tenteront une dernière fois de battre des ailes, en vain…

Sinon j’ai écrit Homo juchrémanensis pour préciser la pensée du camarade Karl qui disait que la religion était « l’opium du peuple ». Nan, la religion est le cahier des charges du peuple. Imposé par une trilogie de petits malins se réclamant d’un grand barbu dans le ciel, qui depuis 3000 ans se frottent les mains en regardant les bipèdes s’entretuer pour leur plus grand bénéfice. J’ai écrit Hj pour vous expliquer tout ça, preuves à l’appui. Vous en faites ce que vous voulez, de ce bouquin, je vous rappelle juste qu’il existe, et que c’est pas grâce à Gallisset ou Gramard ou Plomb ou Ojile Dacob ou pire, et encore moins grâce aux librêres indépendants (rires). Homo Juchrémanensis existe pour les gens qui n’ont pas besoin de l’odeur de la chair des arbres frais abattus ou de l’encre fantôme de prétendus imprimeurs pour se changer les idées. Homo juchrémanensis vous raconte votre vie en une centaine de pages, en essayant de pas trop vous faire caguer. Une gageure !

Epub  /  Kindle

Obéissance (« Obey Road »)

Salut les Juchréman(e)s !

Leur devoir d’épandeurs de trucs puants, biodestructeurs et pollueurs de nappe phréatique accompli, les empoisonneurs locaux sont partis à la plage tremper leurs culs terreux de luxe barbouillés de crème solaire dans les eaux estivales. Je me suis alors risqué dans le jardin. Le soudain apport en oxygène encore bien imprégné de chimie mortifère m’a quand même permis de méditer une fois encore sur les  méfaits millénaires de la culture abrahamique. Le devoir d’obéissance, par exemple :

Dans l’ordre d’apparition de vos cahiers des charges sacrés :

Torah/Bible – « Moïse choisit des hommes capables parmi tout Israël, et il les établit chefs du peuple, chefs de mille, chefs de cent, chefs de cinquante et chefs de dix. »( Exode (Chemot)  18, 25)

Bible – « Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. » (Corinthiens 11, 3)

Coran – « Et Nous avons désigné parmi eux des chefs qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets » (Sourate 32, As-Sajda 24)

Dans nos démocraties préhistoriques post modernes, les chefs sont élus (soi-disant). Résultat : jamais la vie d’un bipède à poil ras a eu aussi peu de prix.

Je vous laisse gamberger là-dessus le temps qu’il faudra*. Moi, j’ai des chats et des poissons rouges (pas en bocal) à nourrir.

 

*Pour vous y aider :

Kindle

Epub

 

Kindle

Epub

 

A disturbing dream/ Un rêve dérangeant

Since Israeli president Isaac Herzog, visiting Gaza, has decided that everything was fine and that his country was acting “in accordance with international law,” we can rest assured. And above all, we’re relieved of a vague sense of guilt that had begun to creep into the carefree atmosphere of our summer vacation in recent days. Phew! The so-called ongoing genocide and its latest episode, a final solution through widespread starvation in the Gaza death camp, after 70 years of meticulous metastatizing of Palestine by the Israeli cancer, was nothing but “anti-Semitic” propaganda (see the meaning of the word “Semite”).

So how come I had this disturbing dream last night?

Paris had been infiltrated by an organization demanding independence for the city and, using this as a pretext, was engaging in bloody rampages to achieve its ends. 30,000 individuals had decided to lead more than 2,000,000 down the slippery slope of armed violence.

In percentage, these individuals represented about 1.5% of the parisian population. And yet the repression that had been unleashed at once made no distinction between one person and another. With relentless bombing, missiles, and other armored incursions, in less than two years the siege of Paris had left 54,000 dead, including 15,000 children. The destroyed hospitals could no longer accommodate the countless wounded, whose death throes mingled with the moans of mothers who now saw their children dying of hunger in their arms. The UN estimated that around 92% of all buildings had been damaged or destroyed since the fateful day when the rebel organization had committed atrocities, massacring 1,200 people and taking hostages (some of whom, to this day, were reportedly still alive, despite the deprivation and bombardment they endured like the rest of the population).

The leader of the besiegers nevertheless declared himself satisfied: 17,000 killed (0.85% of the “enemy forces”). Unfortunately, that left 13,000 (0.65%) to be “eradicated.” He would therefore continue to terrorize the remaining 98.5%, displace them, bomb them, humiliate them, starve them, kill them while pretending to feed them, even though they had never actively participated in what the media continued to call a “war”—the underground skirmishes between a handful of desperate maniacs and one of the best-trained armies on the planet, logistically supported by the US itself! Children would continue to die of hunger, their mothers mourning them…

While searching the rubble for some food, I stumbled upon a stone… oh no, it was a book… A fat book, half burned, with a few pages still hanging on… On the cover, what looked like a cross… I woke up just as the planes arrived for another round of bombing…

PS – I asked an AI to create an image of Paris as it was in my nightmare. It’s full of good intentions in terms of general feeling, but there’s still room for improvement when it comes to the proportions of the monuments!

 

Puisque le président israélien Isaac Herzog en visite à Gaza a jugé que tout allait bien et que son pays agissait « conformément au droit international », nous voilà rassurés. Et surtout débarrassés d’une vague culpabilité qui ces derniers jours, commençait à s’immiscer dans l’insouciance de nos vacances d’été. Ouf ! Le génocide en cours et son dernier épisode, une solution finale par famine généralisée dans le camp de la mort de Gaza, après 70 ans d’une métastatisation méticuleuse de la Palestine par le cancer israélien, n’était que propagande « antisémite » (voir la signification du mot « sémite »).

Alors allez savoir pourquoi j’ai fait ce rêve dérangeant, la nuit dernière…

Paris avait été infiltré par une organisation revendiquant l’indépendance de la ville et qui, usant de ce prétexte, se livrait à des exactions sanguinaires pour parvenir à ses fins. 30 000 individus avaient décidé d’en entraîner plus de 2 000 000 sur la pente savonneuse de la violence armée. En pourcentage, ça représentait environ 1,5% de la population parisienne. Et pourtant la répression qui s’était abattue aussi sec ne faisait aucune différence entre les uns et les autres. Bombardements incessants, missiles et autres incursions de blindés, en moins de deux ans le siège de Paris avait fait 54 000 morts parmi les habitants, dont 15 000 enfants. Les hôpitaux détruits ne pouvaient plus accueillir les innombrables blessés dont les râles d’agonie se mêlaient aux gémissements des mères qui, maintenant, voyaient leurs enfants mourir de faim dans leurs bras. L’ONU estimait qu’environ 92 % de tous les bâtiments avaient été été endommagés ou détruits depuis la sombre journée où l’organisation rebelle s’était livrée à des horreurs, massacrant 1200 personnes, prenant même des otages dont, à ce jour, certains étaient, paraît-il encore vivants, malgré les privations et les bombardements qu’ils subissaient comme le reste de la population.

Malgré tout le chef des forces assiégeantes se déclarait satisfait : 17 000 tués (0,85% de l’ « ennemi potentiel»). Hélas il en restait 13 000 (0,65% ) à « éradiquer ». Il continuerait donc à terroriser les 98,5% restants, à les déplacer, les bombarder, les humilier, les affamer, alors qu’ils n’avaient jamais participé activement à ce que les média continuaient d’appeler une « guerre » les échauffourées souterraines entre une poignée de furieux et une des armées les mieux entraînées de la planète, soutenue logistiquement par les USA en personne ! Les enfants continueraient à mourir de faim, leurs mères à les pleurer…

Fouillant les décombres à la recherche de nourriture, j’ai trébuché sur une pierre… ah non c’était un livre… Un gros livre à demi calciné auquel pendouillaient encore quelques pages… Sur la couverture on aurait dit une croix… Je me suis réveillé au moment où les avions arrivaient pour un nouvel arrosage…

 

PS – J’ai demandé à une IA de me concocter une image de Paris tel que dans mon cauchemar. Il y a de l’idée pour l’ambiance mais côté proportions des monuments entre eux il y a encore des progrès à faire !

Any resemblance/ Toute ressemblance

I was finally about to start tidying up my little garden, ill-treated by the harsh weather and a certain amount of neglect on my part when the radio, breaking the code of silence imposed by its masters, couldn’t help but whisper with the flattest of apologies (to said masters) that around twenty little Palestinians had unfortunately just died of starvation in a death camp called Gaza (they didn’t say “death camp,” so as to keep their jobs).

With “sacred” texts to back it up, Homo juchremanensis provides proof of the blatant responsibility of Abrahamic culture for the horrors that have plagued a good half of modern prehistoric bipeds for three millennia. This culture is based on the teachings of “Moses,” a Jewish prophet recognized 610 years later by Christians and then, another 610 years later, by Muslims under the name “Musa.” The key word in these teachings is “dominate.”

– God dominates “man,” who dominates woman, his “helper.” Their descendants make up the “chosen people.”

– The “chosen people” must ‘dominate’ the rest of the living world. When they cannot just kill it for food, the best way to act juchremanly is to “lend money” to the populations they want to “dominate.”

– The “chosen people” will also resort to colonization with no justification other than divine will of any territory “already inhabited,” of any land “already cultivated.”

The rest is a matter of “submission” to the “leaders” appointed by Moses (Musa) and his followers.

Any resemblance to contemporary events or actual persons is purely non-coincidental.

All references and much more to be found in

Kindle

Epub

J’étais sur le point de me mettre enfin à la réhabilitation de mon petit jardin menacé de toutes parts par les effets secondaires des délires homicides du sénateur Duplomb dans l’aile, plus une météo virile doublée d’une certaine négligence de ma part quand la radio, enfreignant l’omerta imposée par ses maîtres n’a pu s’empêcher de chouiner avec ses plus plates excuses (envers lesdits maîtres) qu’une vingtaine de petits Palestiniens venaient malencontreusement de mourir de faim dans un camp de la mort nommé Gaza (ils n’ont pas dit « camp de la mort », désirant conserver leur emploi).

Textes « sacrés » à l’appui, Homo juchrémanensis apporte la preuve de la responsabilité flagrante de la culture abrahamique dans les horreurs qui depuis trois millénaires accablent une bonne moitié de la bipédie préhistorique moderne. Cette culture repose sur les enseignements de « Moïse », prophète juif reconnu 610 ans plus tard par les Chrétiens puis, 610 nouvelles années ayant passé, par les Musulmans sous le nom de « Musa ». Le maître mot de cet enseignement est « dominer ».

– Dieu domine l’ « homme » qui domine la « femme », son « aide ». Leurs descendants composent le « peuple élu ».

– Le « peuple élu » se doit de « dominer » le reste du vivant. Quand il ne peut pas le tuer pour s’en nourrir, la meilleure façon juchrémane d’agir est de « prêter de l’argent » aux populations qu’on veut « dominer ».

– Le « peuple élu » aura également recours à la colonisation sans justification autre que la volonté divine de tout territoire «déjà habité», de toute terre «déjà cultivée».

Le reste est une affaire de «soumission» aux « chefs » désignés par Moïse (Musa) et ses followers.

Toute ressemblance avec des faits contemporains et des personnages existants actuellement n’a rien de fortuit ni n’est le fruit d’une pure coïncidence.

Toutes les références et bien plus encore à retrouver dans

Kindle

Epub