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Caïn repose en paix !

Franchement, les Juchréman(e)s ! Vous trouvez pas que le pogrom en cours d’infortunés bovins contaminés, en vue d’éviter aux autres biftecks sur pattes une fin prématurée, savoir : avant que leur heure soit venue d’être massacrés en bonne et due forme, en toute normalité culturelle pour satisfaire nos besoins impératifs en « protéines animales », sent son juchrémanisme à plein nez ?

Vendredi, dans Labos bobo, j’abordais la question de l’expérimentation animale et de la responsabilité pleine et entière de la pseudo « science » dans cette pratique abjecte autant qu’ INUTILE. Aujourd’hui j’affirme, en accord avec les 75 millions d’autres personnes dans le monde qui ont choisi de ne plus inviter la souffrance et la mort d’êtres sensibles à leur table que, selon la pseudo « science » même, UNE PROTÉINE EST UNE PROTÉINE, qu’elle soit animale ou végétale.

Si ça peut rassurer nos charognards de service (car, ne leur en déplaise, le grand savant de Marseille M. Cimès et ses potes « viandards » revendiqués sont plus proches des vautours et des hyènes que des lions ou des tigres), on compensera le supposé déficit de la « protéine végétale » en molécules indispensables dont la « protéine animale » serait seule porteuse (avec pas mal d’autres molécules carrément nocives …et absentes, quant à elles, de la « protéine végétale ») par une combinaison idoine entre légumineuses.

Il est donc insensé, sinon criminel de continuer à encourager les éleveurs(euses) d’animaux de boucherie et les bouchers(ères) par la même occasion (ces gros cons de chasseurs, on en parle même pas) dans leur croyance judaïque (voir ci-après) et erronée d’autant, selon laquelle ils seraient nos nourrisseurs indispensables et dévoués.

En gros on bouffe de la barbaque parce que les braves bipèdes à poil ras préhistoriques que nous sommes, s’ils rêvent d’aller sur Mars, en vrai n’osent toujours pas s’aventurer trop loin de leurs cavernes. Pour le plus grand profit d’une poignée de malfaisants qui, sous couvert de volonté divine, cherchent depuis 2635 ans à nous empêcher d’accéder à des évidences comme l’alimentation non carnée mais également l’égalité des porte-monnaies et la gratuité des réponses aux besoins fondamentaux. La solidarité entre mortels quoi. L’humanité, en gros.

En attendant↓

 

IV HOMO JUCHRÉMANENSIS AU QUOTIDIEN

 Alimentation et environnement

« A l’échelle cosmique, l’eau est plus rare que l’or. Pour la vie, elle est infiniment plus précieuse. »

Hubert Reeves

 

Torah, Berechit (= Bible, Genèse) :

4,1. « or, l’homme s’était uni à Ève, sa femme. Elle conçut et enfanta Caïn, en disant: « J’ai fait naître un homme, conjointement avec l’Éternel! »

4,2. Elle enfanta ensuite son frère, Abel. Abel devint pasteur de menu bétail, et Caïn cultiva la terre.

4,3. Au bout d’un certain temps, Caïn présenta, du produit de la terre, une offrande au Seigneur;

4,4. et Abel offrit, de son côté, des premiers-nés de son bétail, de leurs parties grasses. Le Seigneur se montra favorable à Abel et à son offrande,

4,5. mais à Caïn et à son offrande il ne fut pas favorable; Caïn en conçut un grand chagrin, et son visage fut abattu. »

De toute évidence, YHWH est un « viandard ». Le fumet délicat d’une « partie grasse de bétail premier-né » rôtie au barbecue Lui parle mieux que celui d’une soupe poireaux-pommes de terre mijotant à feu doux.

En Juchrémans scrupuleux, nos agriculteurs préhistoriques post modernes continuent à flatter les goûts divins. Résultat, en 2025, « 33 % des terres cultivables de la planète sont utilisées à produire l’alimentation des animaux d’élevage ; 26 % de la surface des terres émergées non couvertes par les glaces sont employés pour le pâturage »1.  Du temps de Moïse déjà l’espace manquait pour nourrir toutes les infortunées créatures dont, en retour, la chair servirait de nourriture au Peuple Élu :

Berechit (Genèse) toujours :

13,2. « Or, Abram était puissamment riche en bétail, en argent et en or. »

13,5. « Loth aussi, qui accompagnait Abram, avait du menu bétail, du gros bétail et ses tentes. »

13,6. « Le terrain ne put se prêter à ce qu’ils demeurassent ensemble; car leurs possessions étaient considérables, et ils ne pouvaient habiter ensemble. »

Les 2212 entrées bibliques pour « troupeaux » ou « bétail » donnent une idée de la place occupée par les produits d’origine animale dans l’alimentation des Juifs et des Chrétiens …bientôt rejoints par les Musulmans de Muhammad. Apportant son écot au cahier des charges du Consortium, le Prophète établit d’ailleurs certaines règles culinaires à ne point enfreindre sous peine de damnation éternelle :

Coran, Sourate 6, Al-An’am

  1. « Dis : « Dans ce qui m’a été révélé, je ne trouve d’interdit à aucun mangeur d’en manger, que la bête (trouvée) morte, ou le sang qu’on a fait couler, ou la chair de porc – car c’est une souillure – ou ce qui, par perversité, a été sacrifié à autre qu’Allah. » Quiconque est contraint, sans toutefois abuser ou transgresser, ton Seigneur est certes Pardonneur et Miséricordieux.
  2. Aux Juifs, Nous avons interdit toute bête à ongle unique. Des bovins et des ovins, Nous leurs avons interdit les graisses, sauf ce que portent leur dos, leurs entrailles, ou ce qui est mêlé à l’os. Ainsi les avons-Nous punis pour leur rébellion. Et Nous sommes bien véridiques. »

Jusqu’à la couleur de la vache digne d’être « immolée » :

Coran SOURATE 2,  Al-Baqarah (La Vache)

  1. « (Et rappelez-vous,) lorsque Musa dit à son peuple : « Certes Allah vous ordonne d’immoler une vache » . Ils dirent : « Nous prends-tu en moquerie?  » « Qu’Allah me garde d’être du nombre des ignorants » dit-il.
  2. Ils dirent : « Demande pour nous à ton Seigneur qu’Il nous précise ce qu’elle doit être ». – Il dit : « Certes Allah dit que c’est bien une vache, ni vieille ni vierge , d’un âge moyen, entre les deux. Faites donc ce qu’on vous commande ».
  3. – Ils dirent : « Demande donc pour nous à ton Seigneur qu’Il nous précise sa couleur ». – Il dit : « Allah dit que c’est une vache jaune, de couleur vive et plaisante à voir ».
  4. – Ils dirent : « Demande pour nous à ton Seigneur qu’Il nous précise ce qu’elle est car pour nous, les vaches se confondent. Mais, nous y serions certainement bien guidés , si Allah le veut ».
  5. – Il dit : « Allah dit que c’est bien une vache qui n’a pas été asservie à labourer la terre ni à arroser le champ, indemne d’infirmité et dont la couleur est unie ». – Ils dirent : « Te voilà enfin, tu nous as apporté la vérité! «  Ils l’immolèrent alors mais il s’en fallut qu’ils ne l’eussent pas fait.»

…Et c’eût été aussi salutaire pour leurs descendants que pour nous tous qu’ils ne le fissent point ! Quelles que soient les raisons du peuple de Musa d’hésiter à l’« immoler », la vérité est que, aussi « jaune et plaisante à voir » soit-elle, via son fumier, ses rots et ses flatulences, la malheureuse vache libère un gaz apte à emprisonner 30 fois plus de chaleur par tonne émise que le dioxyde de carbone des cheminées d’usines, des voitures et des avions ! Selon un rapport de l’ONU de 2021, le bétail élevé annuellement sur la planète est responsable de 32% des émissions mondiales de méthane.

Sans pour autant suffire à rassasier vos convives : « Par exemple, si nous consommons 100 calories de céréales, comme le maïs ou le soja, nous obtenons ces 100 calories. Toute l’énergie de la nourriture est directement livrée à la personne qui la consomme. Mais si les 100 calories de céréales sont plutôt données à une vache ou à un cochon [pour les carnivores chrétiens, Chrétiens d’Éthiopie exceptés, ndla], lorsque l’animal est tué et transformé en nourriture, seulement un dixième de l’énergie de ces 100 calories de céréales va à la personne qui consomme l’animal. » 2

Au risque d’aller à contresens des penchants carnivores de l’Éternel, « si les populations de 54 pays à revenu élevé passaient à un régime axé sur les plantes, les émissions annuelles de la production agricole [en gaz à effet de serre] de ces pays pourraient chuter de plus de 60%. » 3

Sachant que notre vache « ni vieille ni vierge, d’un âge moyen, entre les deux, indemne d’infirmité et dont la couleur est unie » ne dédaigne pas un petit coup à boire pour faire glisser son maïs transgénique, et que : « La disponibilité en eau douce est soumise à une pénurie croissante en lien avec le changement climatique. Dans la mesure où 70% de l’eau douce mondiale sont utilisés pour l’agriculture, limiter la consommation d’eau utilisée pour l’élevage apparaît comme un levier. » 4

On peut comprendre aujourd’hui que Caïn l’ait eu saumâtre !

…Et aussi que votre petit(e) dernie(è)r(e) –  futur(e) militant(e) écologiste à coup sûr! – regarde avec méfiance son bifteck prédécoupé avec amour.

 

1 FAO (Food and Agriculture Organization of the United Nations) 2006, p. 271

2 https://www.mutualia.fr/agriculteur/infos/sante-et-prevoyance/news/comment-la-consommation-de-viande-affecte-les-gaz-effet

étude publiée dans la revue Nature Food, 2022

4 https://chaire-bea.vetagro-sup.fr/il-faut-15-000-litres-deau-pour-produire-1-kg-de-viande-de-boeuf-vrai-ou-faux/

Extrait de Homo juchrémanensis ( EpubKindle)…  Homo juchremanensis ( KindleEpub) pour les anglophones

Casquettes rigolotes et chiens malades

JUifs (- 610)

Exode (Chemot)  18, 25

« Moïse choisit des hommes capables parmi tout Israël, et il les établit chefs du peuple, chefs de mille, chefs de cent, chefs de cinquante et chefs de dix. »

 

CHRÉtiens (000)

Corinthiens 11, 3

« Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ. »

 

MusulMANs (+ 610)

Sourate 32, As-Sajda 24.

« Et Nous avons désigné parmi eux des chefs qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets »

 

Cette insistance du Torbico (Torah/Bible/Coran) à exiger de tout(e) bipède à poil ras qu’iel aliène son « je » au profit de celui d’un(e) autre bipède à poil tout aussi ras mais porteur(euse) d’une casquette rigolote m’a longtemps interrogé. Et puis j’ai fini par comprendre qu’elle s’inscrivait dans la volonté globale du Créateur du Prêt à Intérêt (Ju), de la Banque (Chré) et de la Mourabaha (Man) réunis de maintenir à toute force ses créatures dans une animalité sans faille. Et, comme le résume si bien Google, « de la fourmilière aux troupeaux de lions en passant par les meutes de loups et les bancs de poissons » le monde animal repose sur un système hiérarchique bien établi.

Maintenant il faut savoir qu’en plus de ses indéniables qualités d’économiste ultralibéral, notre Créateur est rusé comme une fouine ! À la vue des asticots plus que chétifs qu’Il, ne supportant plus la solitude aux siècles des siècles, avait bricolés à Son Image , Il s’est dit que, d’une part, ça n’allait pas être du gâteau pour en faire les boss de la chaîne alimentaire, mais surtout qu’ils étaient bien assez trous-du-cul pour oublier c’est qui (syntaxe préhistorique post moderne en vigueur sur Radio Phronce) qui les avait fabriqués avec juste une motte de terre truffée de pesticides. Cela posé, il faut attendre le troisième volet du projet abrahamique pour bien saisir la subtilité du plan Divin. Certes, pour dominer le monde et s’entre dominer d’autant, il fallait des chefs à cette bande de zombies …mais pas n’importe quels chefs ! « des chefs qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets », i.e. : qui croyaient fermement à la nécessité pour leurs encheffé(e)s de se comporter comme des animaux égocentrés et vindicatifs, carnivores tant qu’à faire.

Des chefs comme Morveux 75, par exemple, ou pire : Pochtrump, ou, encore pire : Vlad-le-Tordu, ou pire que pire, là on touche le(s) fond(s) : Bibi l’Escroc- Envahisseur sanguinaire-Tueur en série de femmes et d’enfants. Mais, par le vaste monde, y en a plein d’autres de ces chiens malades qui tiennent en laisse d’autres clébards, porteurs des casquettes rigolotes dont je vous parlais plus haut ! À la pelle, y en a ! Y a même que de ça, des « chefs » qui trafiquent la réalité, de façon à convaincre leurs encheffé(e)s d’aller trucider le/la voisin(e), lui/elle-même enrhumé(e) par ses propres chefs. C’est même la fonction première d’un(e) « chef », de rouler ses encheffé(e)s dans la farine pour la plus grande gloire du Créateur du Prêt à Intérêt, de la Banque et de la Mourabaha réunis.

Sauf que la réalité vraie, tamponnée, indiscutable est que la seule ennemie (et encore, pas toujours mais bon là on touche à  un autre problème) du bipède à poil ras comme de tout autre animal, c’est la Grande Faucheuse et ses techniques pour fabriquer des veuf(ve)s et des orphelin(e)s. La guerre, entre autres.

Partant, les optimistes, dont je fais partie, pensent qu’il est encore temps pour l’espèce bipède à poil ras d’ améliorer son score.  Si elle croyait un minimum en elle, à titre individuel (1+1+1+1… 8 milliards) et malgré l’entreprise de massification + dénigrement/mépris/infantilisation tous azimuts qu’est le Torbico, elle pourrait level up et passer au stade humain. Et au stade humain, y a plus besoin de chef, de « nations » et leurs drapeaux maculés d’hémoglobine. Quoi qui se passe, quoi qui nous passe à travers ce foutu crâne, au stade humain on applique en première intention et systématiquement le principe de SOLIDARITÉ ENTRE MORTEL(LE)S, toutes espèces animales incluses évidemment.

Mais tout ça vous est expliqué, démontré, en une centaine de pages, textes sacrés à l’appui, vous savez où. Je vous rebalance quand même les liens :

Homo juchrémanensis ( EpubKindle)…ou son édition en langue anglaise Homo juchremanensis ( KindleEpub)

Quand est-ce qu’on sort, chef ?

Vous savez les Juchréman(e)s, à part « presque pop star » (franchement il s’en est fallu de peu 😉 ), sur mon CV y a aussi marqué « prof ». Prof d’anglais, prof de piano, prof de guitare, prof de solfège … Bref, pour vous dire que la patience, c’est mon péché mignon. Alors aïe donc ! J’ m’en vas vous répéter une fois encore ce que je disais à Jeanette, du Club Médiapart ( « la rédaction n’est pas responsable » haha !) y a pas trois jours : mon bouquin «Homo juchrémanensis », en anglais « Homo juchremanensis »*, n’est PAS une attaque en règle supplémentaire contre les innombrables superstitions ayant, depuis que le monde est immonde, chanté (faux) les exploits de déités omniscientes, omnipotentes, barbues ou non… N’est PAS une chevauchée vengeresse de plus contre les croyances, mythologies, scientologies, hypocondries (heu non ça c’est encore autre chose, pas vrai DJ?) et autres catastrophes humanitaires ayant ravagé les récoltes, brûlé les chaumières, violé les femmes, empalé les hommes, égorgé les enfants des populations tantôt hérétiques, tantôt mécréantes qui leur tombaient sous le lance-pierre, l’épée ou le cimeterre.

Nan ! Ce petit « essai » d’une centaine de pages (saupoudré de « fictions illustratives » pleines de bon sens et d’humour, j’insiste là-dessus, mes chevilles dussent-elles en souffrir) est une mise en abîme, comme disent les intellos, des injonctions REPRODUITES À LA VIRGULE PRÈS, que le soi-disant « dieu » des Juifs, customisé par les Chrétiens, puis les Musulmans, aurait soi-disant chargé de soi-disant prophètes, de nous transmettre à travers le temps et l’espace.

Des injonctions, ET C’EST LÀ LE PROPOS DU BOUQUIN , qui, suivies à la lettre, NOUS ONT CONDUITS, nous autres naïfs bipèdes à poil ras, EXACTEMENT OÙ ELLES NE POUVAIENT QUE NOUS CONDUIRE : à la « dette souveraine », aux violences contre les femmes et autres infanticides (suicides y compris), à la dictature de l’argent, au génocide palestinien et à plein d’autres horreurs que « vous avez des yeux pour voir et des oreilles pour entendre » chaque matin dans vos média (sans s, pluriel de « médium »), infantilisants au possible (non par choix individuel, encore faudrait-il que les notions de « choix » ou d’ « individu » eussent encore un sens pour ces zombies dyslexiques, pardon : « fissent encore sens » mais par devoir alimentaire).

Conclusion : avant d’en travestir le sens selon le principe on ne peut plus juchréman qu’on ne comprend que ce que l’on a décidé de comprendre, lisez HJ pour de bon et, l’ayant lu et COMPRIS, commencez à envisager (avec l’ auteur) que le moyen le plus sûr d’ ATTEINDRE ENFIN AU STADE « HUMAIN » (terme dont les pathétiques créatures préhistoriques post modernes que nous sommes ne craignons pas, hélas, de revêtir bien trop précocement une animalité agressive jamais dépassée depuis l’obscurité humide des cavernes) puisse être D’ABANDONNER LE LOGICIEL JUCHRÉMAN DARE-DARE, VITE FAIT, BIEN FAIT ET DE TOUTE URGENCE ! Puisque nous aimons tant les musées, le Louvre surtout  🙂  et que c’est bientôt Noël, refourguons leur la collection complète des cahiers des charges des « religions du Livre », xénophobes, mesquins, pornographiques, injustes et mortifères. Respirons un grand coup et parlons enfin JOIE DE VIVRE, SOLIDARITÉ ENTRE MORTELS, GRATUITÉ DES RÉPONSES AUX BESOINS FONDAMENTAUX, RESPECT DU VIVANT, loin de la hiérarchie des espèces, des protéines animales indispensables et toutes ces conneries…

L’aikido propose d’utiliser le Ki de l’adversaire « contre » lui. Et si nous retournions contre l’entité mystico-financiariste juchrémane la précision machiavélique avec laquelle elle nous envoie dans le mur en faisant exactement le contraire de ce qu’elle nous enjoint de faire ? 2700 ans de contre évolution de l’espèce auraient au moins servi à quelque chose…

* Homo juchrémanensisEpubKindle)…ou son édition en langue anglaise Homo juchremanensis ( KindleEpub)