Excuse-moi, Emmanuel mais ton caca nerveux à retardement ne change pas grand-chose à la famine organisée qui, d’ici le mois de septembre aura causé d’innombrables souffrances supplémentaires parmi une population gazaoui déjà exsangue, toutes les organisations humanitaires le hurlent jour après jour. Ce génocide est une honte indélébile pour les Israéliens qui, paraît-il, sont dans leur majorité tenus dans l’ignorance de ce qui se passe, puisque les journalistes sont interdits de séjour dans le camp de la mort. Quoi qu’il en soit, Netanyahou est un criminel de guerre multi récidiviste qui, poursuivant ses objectifs expansionnistes abjects, sous couvert de vouloir sauver quelques hypothétiques otages survivants les condamne à une fin certaine et terriblement douloureuse. C’est des trucs comme ça qu’il faut zozotter au monde admiratif, Emmanuel, Roi de la Phronce de mes deux.
Sinon n’allez pas croire que l’algorithme de Google recèle un quelconque système de censure contre lequel j’essaie de lutter, c’est juste que, mon cauchemar ayant récidivé, je le rediffuse aujourd’hui :
« Paris avait été infiltré par une organisation revendiquant l’indépendance de la ville et qui, usant de ce prétexte, se livrait à des exactions sanguinaires pour parvenir à ses fins. 30 000 individus avaient décidé d’en entraîner plus de 2 000 000 sur la pente savonneuse de la violence armée. En pourcentage, ça représentait environ 1,5% de la population parisienne. Et pourtant la répression qui s’était abattue aussi sec ne faisait aucune différence entre les uns et les autres. Bombardements incessants, missiles et autres incursions de blindés, en moins de deux ans le siège de Paris avait fait 54 000 morts parmi les habitants, dont 15 000 enfants. Les hôpitaux détruits ne pouvaient plus accueillir les innombrables blessés dont les râles d’agonie se mêlaient aux gémissements des mères qui, maintenant, voyaient leurs enfants mourir de faim dans leurs bras. L’ONU estimait qu’environ 92 % de tous les bâtiments avaient été été endommagés ou détruits depuis la sombre journée où l’organisation rebelle s’était livrée à des horreurs, massacrant 1200 personnes, prenant même des otages dont, à ce jour, certains étaient, paraît-il encore vivants, malgré les privations et les bombardements qu’ils subissaient comme le reste de la population.
Malgré tout le chef des forces assiégeantes se déclarait satisfait : 17 000 tués (0,85% de l’ « ennemi potentiel»). Hélas il en restait 13 000 (0,65% ) à « éradiquer ». Il continuerait donc à terroriser les 98,5% restants, à les déplacer, les bombarder, les humilier, les affamer, alors qu’ils n’avaient jamais participé activement à ce que les média continuaient d’appeler une « guerre », savoir les échauffourées souterraines entre une poignée de furieux et une des armées les mieux entraînées de la planète, soutenue logistiquement par les USA en personne ! Les enfants continueraient à mourir de faim, leurs mères à les pleurer…
Fouillant les décombres à la recherche de nourriture, j’ai trébuché sur une pierre… ah non c’était un livre… Un gros livre à demi calciné auquel pendouillaient encore quelques pages… Sur la couverture on aurait dit une croix… Je me suis réveillé au moment où les avions arrivaient pour un nouvel arrosage… »
J’ai plein de boulot en retard alors mes visiteurs anglophones se fendront de solliciter l’IA de leur choix pour traduire tout ça, merci
En parlant d’IA, il y a pas mal à revoir concernant les monuments de Paris. La tour Eiffel au pied de Notre-Dame, fallait oser !