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Une liseuse pour Ursula ! (« 700 billion dollar baby »)

C’est tellement ridicule. Je me demande comment la préhistoire post moderne a pu en arriver là. Ce doit être un autre rêve que je suis en train de faire. Qui est ce gros bonhomme âgé, au scalp clairsemé – blond ? roux ? « queue de vache », aurait dit ma mère – décidant de l’avenir de la Juchrémanie depuis un terrain de golf écossais, en compagnie d’une vieille dame au sourire las, prête à toutes les compromissions, pourvu qu’elle puisse toucher ses 33 064,03 euros bruts mensuels – c’est que la retraite approche à grands pas (67 ans en Allemagne) et qu’elle a quand même – « il faut bien que le corps exulte » – pondu 7 héritiers qui eux-mêmes… bref «  +15% de droits de douane ? Ah et aussi 700 milliards de promesse d’achats de pétrole/gaz de schiste alors que, dans un sursaut de bon sens, on essayait de plus toucher à ces horreurs suicidaires ? Sinon vous  nous laissez, moi, mes enfants et petits-enfants à la merci de Vlad-le-Sanguinaire ? Pitié mon bon seigneur ! Yes it is a very good deal ! Thank you so much ! Danke schön ! »

Ah bien sûr, si mamie Ursula avait lu « Homo juchrémanensis » III, 1  « Talbin » (« Gwap» for the english edition)*

Mais peut-être mamie Ursula n’a-t-elle point de liseuse, ni de kindle, de tablette, de pc, ni de smartphone, BlackBerry OS, iPhone… Peut-être mamie Ursula est-elle toujours aux mains des dealers de cellulose, soumise au chantage des librêres in-dé-pen-dants (rires). Pauvre mamie Ursula !

Soyez plus subtils que mamie Ursula, ami(e)s Juchréman(es ! En quelques clics salvateurs, lisez de vrais livres, pas du papier encré… Et apprenez à vous méfier des ânes !

 

PS- Cette fois encore, pris par le temps, je demanderai à mes visiteur(e)s anglophones qui sont de grands garçons et de grandes filles, de se démerder pour traduire cet article, sinon qu’ils m’écrivent. Contre + 15 % (en bitcoins) je leur refilerai quelques adresses d’IA pas trop craignos 🙂

 

*Homo juchrémanensis, édition française :

Kindle, Epub

Homo juchremanensis, english edition :

Kindle , Epub

Vivement septembre

Excuse-moi, Emmanuel mais ton caca nerveux à retardement ne change pas grand-chose à la famine organisée qui, d’ici le mois de septembre aura causé d’innombrables souffrances supplémentaires parmi une population gazaoui déjà exsangue, toutes les organisations humanitaires le hurlent jour après jour. Ce génocide est une honte indélébile pour les Israéliens qui, paraît-il, sont dans leur majorité tenus dans l’ignorance de ce qui se passe, puisque les journalistes sont interdits de séjour dans le camp de la mort. Quoi qu’il en soit, Netanyahou est un criminel de guerre multi récidiviste qui, poursuivant ses objectifs expansionnistes abjects, sous couvert de vouloir sauver quelques hypothétiques otages survivants les condamne à une fin certaine et terriblement douloureuse. C’est des trucs comme ça qu’il faut zozotter au monde admiratif,  Emmanuel, Roi de la Phronce de mes deux.

Sinon n’allez pas croire que l’algorithme de Google recèle un quelconque système de censure contre lequel j’essaie de lutter, c’est juste que, mon cauchemar ayant récidivé, je le rediffuse aujourd’hui :

« Paris avait été infiltré par une organisation revendiquant l’indépendance de la ville et qui, usant de ce prétexte, se livrait à des exactions sanguinaires pour parvenir à ses fins. 30 000 individus avaient décidé d’en entraîner plus de 2 000 000 sur la pente savonneuse de la violence armée. En pourcentage, ça représentait environ 1,5% de la population parisienne. Et pourtant la répression qui s’était abattue aussi sec ne faisait aucune différence entre les uns et les autres. Bombardements incessants, missiles et autres incursions de blindés, en moins de deux ans le siège de Paris avait fait 54 000 morts parmi les habitants, dont 15 000 enfants. Les hôpitaux détruits ne pouvaient plus accueillir les innombrables blessés dont les râles d’agonie se mêlaient aux gémissements des mères qui, maintenant, voyaient leurs enfants mourir de faim dans leurs bras. L’ONU estimait qu’environ 92 % de tous les bâtiments avaient été été endommagés ou détruits depuis la sombre journée où l’organisation rebelle s’était livrée à des horreurs, massacrant 1200 personnes, prenant même des otages dont, à ce jour, certains étaient, paraît-il encore vivants, malgré les privations et les bombardements qu’ils subissaient comme le reste de la population.

Malgré tout le chef des forces assiégeantes se déclarait satisfait : 17 000 tués (0,85% de l’ « ennemi potentiel»). Hélas il en restait 13 000 (0,65% ) à « éradiquer ». Il continuerait donc à terroriser les 98,5% restants, à les déplacer, les bombarder, les humilier, les affamer, alors qu’ils n’avaient jamais participé activement à ce que les média continuaient d’appeler une « guerre », savoir les échauffourées souterraines entre une poignée de furieux et une des armées les mieux entraînées de la planète, soutenue logistiquement par les USA en personne ! Les enfants continueraient à mourir de faim, leurs mères à les pleurer…

Fouillant les décombres à la recherche de nourriture, j’ai trébuché sur une pierre… ah non c’était un livre… Un gros livre à demi calciné auquel pendouillaient encore quelques pages… Sur la couverture on aurait dit une croix… Je me suis réveillé au moment où les avions arrivaient pour un nouvel arrosage… »

 

J’ai plein de boulot en retard alors mes visiteurs anglophones se fendront de solliciter l’IA de leur choix pour traduire tout ça, merci

En parlant d’IA, il y a pas mal à revoir concernant les monuments de Paris. La tour Eiffel au pied de Notre-Dame, fallait oser !

A disturbing dream/ Un rêve dérangeant

Since Israeli president Isaac Herzog, visiting Gaza, has decided that everything was fine and that his country was acting “in accordance with international law,” we can rest assured. And above all, we’re relieved of a vague sense of guilt that had begun to creep into the carefree atmosphere of our summer vacation in recent days. Phew! The so-called ongoing genocide and its latest episode, a final solution through widespread starvation in the Gaza death camp, after 70 years of meticulous metastatizing of Palestine by the Israeli cancer, was nothing but “anti-Semitic” propaganda (see the meaning of the word “Semite”).

So how come I had this disturbing dream last night?

Paris had been infiltrated by an organization demanding independence for the city and, using this as a pretext, was engaging in bloody rampages to achieve its ends. 30,000 individuals had decided to lead more than 2,000,000 down the slippery slope of armed violence.

In percentage, these individuals represented about 1.5% of the parisian population. And yet the repression that had been unleashed at once made no distinction between one person and another. With relentless bombing, missiles, and other armored incursions, in less than two years the siege of Paris had left 54,000 dead, including 15,000 children. The destroyed hospitals could no longer accommodate the countless wounded, whose death throes mingled with the moans of mothers who now saw their children dying of hunger in their arms. The UN estimated that around 92% of all buildings had been damaged or destroyed since the fateful day when the rebel organization had committed atrocities, massacring 1,200 people and taking hostages (some of whom, to this day, were reportedly still alive, despite the deprivation and bombardment they endured like the rest of the population).

The leader of the besiegers nevertheless declared himself satisfied: 17,000 killed (0.85% of the “enemy forces”). Unfortunately, that left 13,000 (0.65%) to be “eradicated.” He would therefore continue to terrorize the remaining 98.5%, displace them, bomb them, humiliate them, starve them, kill them while pretending to feed them, even though they had never actively participated in what the media continued to call a “war”—the underground skirmishes between a handful of desperate maniacs and one of the best-trained armies on the planet, logistically supported by the US itself! Children would continue to die of hunger, their mothers mourning them…

While searching the rubble for some food, I stumbled upon a stone… oh no, it was a book… A fat book, half burned, with a few pages still hanging on… On the cover, what looked like a cross… I woke up just as the planes arrived for another round of bombing…

PS – I asked an AI to create an image of Paris as it was in my nightmare. It’s full of good intentions in terms of general feeling, but there’s still room for improvement when it comes to the proportions of the monuments!

 

Puisque le président israélien Isaac Herzog en visite à Gaza a jugé que tout allait bien et que son pays agissait « conformément au droit international », nous voilà rassurés. Et surtout débarrassés d’une vague culpabilité qui ces derniers jours, commençait à s’immiscer dans l’insouciance de nos vacances d’été. Ouf ! Le génocide en cours et son dernier épisode, une solution finale par famine généralisée dans le camp de la mort de Gaza, après 70 ans d’une métastatisation méticuleuse de la Palestine par le cancer israélien, n’était que propagande « antisémite » (voir la signification du mot « sémite »).

Alors allez savoir pourquoi j’ai fait ce rêve dérangeant, la nuit dernière…

Paris avait été infiltré par une organisation revendiquant l’indépendance de la ville et qui, usant de ce prétexte, se livrait à des exactions sanguinaires pour parvenir à ses fins. 30 000 individus avaient décidé d’en entraîner plus de 2 000 000 sur la pente savonneuse de la violence armée. En pourcentage, ça représentait environ 1,5% de la population parisienne. Et pourtant la répression qui s’était abattue aussi sec ne faisait aucune différence entre les uns et les autres. Bombardements incessants, missiles et autres incursions de blindés, en moins de deux ans le siège de Paris avait fait 54 000 morts parmi les habitants, dont 15 000 enfants. Les hôpitaux détruits ne pouvaient plus accueillir les innombrables blessés dont les râles d’agonie se mêlaient aux gémissements des mères qui, maintenant, voyaient leurs enfants mourir de faim dans leurs bras. L’ONU estimait qu’environ 92 % de tous les bâtiments avaient été été endommagés ou détruits depuis la sombre journée où l’organisation rebelle s’était livrée à des horreurs, massacrant 1200 personnes, prenant même des otages dont, à ce jour, certains étaient, paraît-il encore vivants, malgré les privations et les bombardements qu’ils subissaient comme le reste de la population.

Malgré tout le chef des forces assiégeantes se déclarait satisfait : 17 000 tués (0,85% de l’ « ennemi potentiel»). Hélas il en restait 13 000 (0,65% ) à « éradiquer ». Il continuerait donc à terroriser les 98,5% restants, à les déplacer, les bombarder, les humilier, les affamer, alors qu’ils n’avaient jamais participé activement à ce que les média continuaient d’appeler une « guerre » les échauffourées souterraines entre une poignée de furieux et une des armées les mieux entraînées de la planète, soutenue logistiquement par les USA en personne ! Les enfants continueraient à mourir de faim, leurs mères à les pleurer…

Fouillant les décombres à la recherche de nourriture, j’ai trébuché sur une pierre… ah non c’était un livre… Un gros livre à demi calciné auquel pendouillaient encore quelques pages… Sur la couverture on aurait dit une croix… Je me suis réveillé au moment où les avions arrivaient pour un nouvel arrosage…

 

PS – J’ai demandé à une IA de me concocter une image de Paris tel que dans mon cauchemar. Il y a de l’idée pour l’ambiance mais côté proportions des monuments entre eux il y a encore des progrès à faire !

Any resemblance/ Toute ressemblance

I was finally about to start tidying up my little garden, ill-treated by the harsh weather and a certain amount of neglect on my part when the radio, breaking the code of silence imposed by its masters, couldn’t help but whisper with the flattest of apologies (to said masters) that around twenty little Palestinians had unfortunately just died of starvation in a death camp called Gaza (they didn’t say “death camp,” so as to keep their jobs).

With “sacred” texts to back it up, Homo juchremanensis provides proof of the blatant responsibility of Abrahamic culture for the horrors that have plagued a good half of modern prehistoric bipeds for three millennia. This culture is based on the teachings of “Moses,” a Jewish prophet recognized 610 years later by Christians and then, another 610 years later, by Muslims under the name “Musa.” The key word in these teachings is “dominate.”

– God dominates “man,” who dominates woman, his “helper.” Their descendants make up the “chosen people.”

– The “chosen people” must ‘dominate’ the rest of the living world. When they cannot just kill it for food, the best way to act juchremanly is to “lend money” to the populations they want to “dominate.”

– The “chosen people” will also resort to colonization with no justification other than divine will of any territory “already inhabited,” of any land “already cultivated.”

The rest is a matter of “submission” to the “leaders” appointed by Moses (Musa) and his followers.

Any resemblance to contemporary events or actual persons is purely non-coincidental.

All references and much more to be found in

Kindle

Epub

J’étais sur le point de me mettre enfin à la réhabilitation de mon petit jardin menacé de toutes parts par les effets secondaires des délires homicides du sénateur Duplomb dans l’aile, plus une météo virile doublée d’une certaine négligence de ma part quand la radio, enfreignant l’omerta imposée par ses maîtres n’a pu s’empêcher de chouiner avec ses plus plates excuses (envers lesdits maîtres) qu’une vingtaine de petits Palestiniens venaient malencontreusement de mourir de faim dans un camp de la mort nommé Gaza (ils n’ont pas dit « camp de la mort », désirant conserver leur emploi).

Textes « sacrés » à l’appui, Homo juchrémanensis apporte la preuve de la responsabilité flagrante de la culture abrahamique dans les horreurs qui depuis trois millénaires accablent une bonne moitié de la bipédie préhistorique moderne. Cette culture repose sur les enseignements de « Moïse », prophète juif reconnu 610 ans plus tard par les Chrétiens puis, 610 nouvelles années ayant passé, par les Musulmans sous le nom de « Musa ». Le maître mot de cet enseignement est « dominer ».

– Dieu domine l’ « homme » qui domine la « femme », son « aide ». Leurs descendants composent le « peuple élu ».

– Le « peuple élu » se doit de « dominer » le reste du vivant. Quand il ne peut pas le tuer pour s’en nourrir, la meilleure façon juchrémane d’agir est de « prêter de l’argent » aux populations qu’on veut « dominer ».

– Le « peuple élu » aura également recours à la colonisation sans justification autre que la volonté divine de tout territoire «déjà habité», de toute terre «déjà cultivée».

Le reste est une affaire de «soumission» aux « chefs » désignés par Moïse (Musa) et ses followers.

Toute ressemblance avec des faits contemporains et des personnages existants actuellement n’a rien de fortuit ni n’est le fruit d’une pure coïncidence.

Toutes les références et bien plus encore à retrouver dans

Kindle

Epub 

 

Hippocampe Twist/ Mars 2221, roman

Ça va les Juchréman(e)s ? Pas trop déprimé(e)s par les exploits du jour de vos élus démocratiques, n’est-ce pas sénateur Duplomb dans l’aile ? Bon aujourd’hui, j’en profite que vous vous crémez le cul avant d’aller pisser dans l’océan et, au passage, pour le bien des générations (no) futures, vous faire dévorer ce qui vous reste d’ovaires et de testicules par les algues carnivores, pour vous rappeler qu’il y a peu, F.Y. Richard n’a pas hésité une seconde à signer Franck Richard deux romans passés entièrement sous les radars de nos librêres… nos librêres comment ? Mais oui ! Nos librêres in-dé-pen-dants (rires)

Il s’agit de :

1/ Hippocampe Twist

« Un patient cent-quarantenaire livré aux tâtonnements d’une brochette de psys d’un réalisme confondant. Les années 60 en données (sévèrement) corrigées. Documenté aux petits oignons, pêchu, drôle, résolument iconoclaste, émouvant à l’occasion, Hippocampe Twist est un check appuyé aux décrocheurs impénitents, aux « pourfendeurs de l’éducativement correct ».

Les moins gâteux de nos boomers devraient s’y retrouver également. »

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et de sa suite, si on peut dire :

2/ Mars 2221, roman

 » «… Le croiriez-vous, lapin ici présent est son propre clone ! Pas son frère jumeau décalé dans le temps comme moi je suis la copie conforme d’une créature originale arrachée trop tôt à l’affection des siens… Nan, lapin, ils ont poussé le bouchon jusqu’à lui réinjecter les données contenues dans son cerveau d’origine ! Lapin, il a 269 ans dans sa tête ! »

Les pérégrinations ébouriffantes de deux marginaux du temps et de l’espace, une occasion pour Franck Richard de revisiter son passé et, avec l’humour acide qui le caractérise, refaire le portrait d’une espèce à laquelle il n’est pas spécialement fier d’appartenir… »

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Allez, éclatez vous bien tout ce merveilleux été démocratique sur vos kindle, liseuses, tablettes… ou vos pc… ou vos Android, Windows Phone, BlackBerry OS, iPhone et tous les supports préhistoriques modernes que nous permettent les métaux rares dérobés aux populations primitives. « Qu’importe le flacon, con ! » comme on bégaie au sud de la Loire. Bisous.